7 conseils pour limiter votre taux d’invendus

Dans un contexte de crise macroéconomique et de réduction des dépenses publicitaires, les éditeurs ont besoin de disposer de toutes les cartes pour maximiser leur taux de remplissage. C’est pourquoi, dans ce nouvel article, nous vous proposons 7 conseils pour limiter votre taux d’invendus.

Conseil n° 1 – Exploitez tous les formats et types de médias

Chez Opti Digital, nous vous recommandons de configurer plusieurs tailles au sein d’un même emplacement publicitaire : rectangle moyen MPU 300×250, 336×280, leaderboard 728×90. Nous vous recommandons également de proposer tous les formats disponibles dans votre ad serveur :  display, natif, vidéo outstream… Cela va permettre de maximiser votre monétisation en répondant aux critères d’un plus grand nombre d’annonceurs.

Conseil n° 2 – Améliorez le taux de visibilité de vos emplacements publicitaires

Améliorer votre taux de visibilité, et le rendre public dans votre kit média et sur votre profil 

DV360, vous permettra d’attirer davantage d’annonceurs prêts à payer davantage pour des espaces publicitaires à forte visibilité. N’oubliez pas que plus cet indicateur est élevé, plus votre rentabilité pour ce placement sera importante ! Pour attirer plus d’acheteur et augmenter votre RPM, nous vous conseillons de cibler un taux de visibilité d’au moins 70% sur ordinateur et 65 % sur mobile.

Lire: Visibilité publicitaire : votre meilleur allié pour booster vos eCPMs

Conseil n° 3 – Réduisez la valeur de votre prix plancher

Diminuer la valeur de vos prix plancher aura généralement pour effet d’améliorer votre taux de remplissage en réduisant le nombre d’impressions invendues.Cette opération nécessite cependant un suivi manuel constant de votre part pour assurer un CPM par requête, puisque l’un des effets secondaires qu’on peut attendre de ce changement est la baisse de l’eCPM moyen. Or, ce suivi peut se révéler complexe si vous ne disposez pas du temps et des ressources nécessaires à lui attribuer. C’est pourquoi une solution automatique de prix plancher capable de calculer dynamiquement la valeur réelle de votre inventaire, telle que celle fournie par Opti Yield, est représente une excellente alternative.

Découvrez: 6 raisons de déployer les prix planchers dynamiques sur vos inventaires publicitaires

Conseil n° 4 – Augmentez vos prix planchers et lancez un deuxième appel publicitaire

En 2022, le volume d’inventaire invendu a augmenté chez l’ensemble des éditeurs en raison de la crise énergétique et de l’inflation. De même, le taux d’invendus augmente lorsque vous mettez en place un outil automatisé d’UPR poussant des valeurs minimales dans les enchères. Cet effet secondaire se produit du fait que tous les acheteurs n’ont pas les moyens d’enchérir à un prix de vente supérieur. C’est pourquoi nous vous recommandons vivement de compléter la configuration de prix planchers par un deuxième appel publicitaire visant à proposer vos invendus à un prix inférieur, offrant ainsi un réel changement de proposition de valeur. 

Fallback, backfill, second call, seconde chance, il existe de nombreux termes pour désigner le processus consistant à remplir un espace publicitaire, lorsque l’offre initiale n’a pas trouvé d’acheteurs. La valeur d’un second appel est généralement inférieure à celle de la première enchère. Récemment, Opti Digital a dévoilé sa nouvelle technologie de « récupération » pour fournir cette seconde chance aux éditeurs. Cette innovation leur permet de convertir 50 à 70 % de leurs publicités invendues en impressions vendues. Pour en savoir plus sur les prix planchers automatiques et notre technologie de « second call », contactez-nous.

Conseil n° 5 – Donnez accès à votre inventaire à un plus grand nombre d’enchérisseurs

Il est important d’ouvrir votre inventaire à plusieurs partenaires de demande afin de stimuler la concurrence et d’optimiser le remplissage de vos espaces publicitaires. Pour savoir lesquels vous apportent réellement des revenus supplémentaires, nous vous recommandons de mesurer régulièrement leur valeur incrémentale en effectuant des tests A/B. N’oubliez pas non plus d’effectuer des contrôles fréquents auprès des SSP afin de bénéficier de tous les avantages offerts par ces derniers, tels que des nouveaux formats, des nouveaux deals ID à intégrer ou encore des fonctionnalités originales à activer.

Conseil n° 6 – Optimisez votre taux de consentement

L’un des principaux leviers pour votre monétisation, surtout depuis le renforcement des lois sur la protection des données personnelles en Europe et aux États-Unis, est l’optimisation de votre taux de consentement. Si vous n’avez pas encore mis en place une CMP, nous vous conseillons de le faire pour les zones géographiques concernées.

Les SSP font des offres en fonction du consentement des utilisateurs : Si les utilisateurs acceptent de partager leurs données personnelles, les annonceurs sont en mesure de mieux les cibler en fonction de leur comportement de navigation et de payer un prix plus élevé pour toucher leur public cible. Au contraire, les utilisateurs qui n’acceptent pas de partager leurs données ne pourront être ciblés que par des moyens alternatifs tels que le contexte ou les identifiants d’utilisateur (IDs). Alors comment optimiser votre taux de consentement ?

  • Envoyez un message spécifique aux utilisateurs qui refusent de donner leur consentement pour qu’ils transforment leur choix en un consentement positif. Cela peut se faire par le biais de campagnes de récupération du consentement réalisées à l’aide d’un ad serveur alternatif sans cookies, tel que le serveur publicitaire d’Opti Digital. 
  • Pour le public ayant refusé de donner son consentement, affichez votre message sur une bannière flottante, en dégradant l’expérience utilisateur. Cela peut vous aider à les faire changer d’avis. Gardez cependant toujours un œil sur votre taux de rebond qui peut avoir un impact négatif sur votre trafic. 
  • Limitez l’accès à votre contenu aux utilisateurs consentants par le biais d’un paywall offrant des options de consentement ou de paiement. 
invendus bannière cookies
Affichage d’une bannière après refus de consentement sur le site web de La Voix du Nord.
invendus paywall
Paywall qui invite l’utilisateur à s’inscrire ou à accepter les cookies pour accéder au contenu du site Pure People.

Conseil n° 7 – Segmentez votre audience

Aidez les annonceurs à atteindre leur public cible, afin qu’ils dépensent davantage de budget publicitaire sur vos supports. Grâce aux cookies et aux chaînes de consentement positif, vous serez en mesure d’offrir une capacité de ciblage comportemental. Malheureusement, aujourd’hui environ 30% des inventaires publicitaires ne proposent pas de cookies, pour les utilisateurs de Safari et de Firefox.

C’est pourquoi, afin de récupérer des informations sur vos utilisateurs, plusieurs alternatives ont vu le jour sur le marché, comme le paywall ou encore le registration wall (bannière invitant l’internaute à s’inscrire). On peut par exemple imaginer offrir une meilleure expérience de navigation aux utilisateurs connectés, avec une pression publicitaire plus faible. Une telle inscription vous permettra de convertir une adresse électronique ou un numéro de téléphone portable en identifiant alternatif. Bien que ces identifiants ne soient pas utilisés dans le cadre d’enchères ouvertes, certains éditeurs font état d’une augmentation de leur RPM dans le cadre de deals privés

Comme vous pouvez le constater, transformer votre inventaire résiduel en impressions vendues nécessite des efforts constants et une technologie solide.

Si vous avez des doutes sur la façon de convertir ces astuces en mesures concrètes ou si vous avez besoin de conseils personnalisés de la part d’experts du secteur, laissez-nous un message ici

Comprendre les fondamentaux du header bidding côté client vs côté serveur

Le header bidding est devenu au fil des ans une technologie programmatique de référence, dans la mesure où il permet d’améliorer les revenus publicitaires par rapport aux méthodes traditionnelles de yield management et les systèmes du type passback (ex: cascade). Comprendre l’ensemble du processus qui se cache derrière la technologie de header bidding est essentiel pour optimiser votre chiffre d’affaires. Dans cet article, nous allons donc vous présenter les différences entre une configuration côté client et une configuration côté serveur.

Qu’est-ce qu’un wrapper de header bidding ?

Avant d’explorer les avantages et les inconvénients du header bidding côté client et côté serveur, il y a une notion qui doit être comprise en premier lieu : la notion de wrapper, un indispensable pour implémenter et opérer des enchères sur votre site.

Un wrapper de header bidding est un conteneur ou un cadre qui aide les éditeurs à rassembler les offres de plusieurs partenaires de demande en simultané, selon un ensemble de règles. Cette technologie contrôle et optimise le processus d’enchères dans l’objectif de collecter l’offre la plus élevée pour chaque requête publicitaire. 

Chez Opti Digital, nous avons choisi de travailler avec le wrapper Prebid. Pourquoi ? Car cette solution gratuite et open source a été adoptée par la grande majorité des éditeurs du monde entier et rassemble la plus importante communauté de développeurs, assurant ainsi l’évolution constante de la technologie.

Prebid peut être mis en œuvre de deux manières :  

  • Prebid JavaScript (JS) : côté client.
  • Prebid server : côté serveur.

Définition du header bidding côté client

​​Dans un système côté client, le tag (Prebid.JS) est placé dans le code source du site Web de l’éditeur et exécuté dans le navigateur Web de l’utilisateur lorsque la page est chargée.

En d’autres termes, lorsque Prebid JS s’exécute, le navigateur de l’internaute appelle les partenaires de demande ( SSPs enchérisseurs) pour participer à l’enchère. Le plus offrant remporte l’enchère et renvoie la valeur du CPM à Prebid JS.

Comme Prebid.JS fonctionne sur un navigateur, la bid request (demande d’enchère en temps réel) est enrichie de cookies fournissant ainsi aux acheteurs des informations pertinentes sur les intérêts de l’utilisateur. Cela permet aux annonceurs de cibler les utilisateurs en fonction de leur historique de navigation récent et donc, atteindre leur public cible à moindre coût. 

Définition du header bidding côté serveur 

Dans un modèle côté serveur, les enchères d’en-tête (header bidding) sont exécutées sur un serveur plutôt que sur le navigateur de l’utilisateur. Au lieu d’envoyer plusieurs requêtes, l’utilisateur envoie une seule bid request au serveur qui appelle de multiples SSP capables de répondre immédiatement. 

Cette méthode présente un avantage considérable sur la vitesse de chargement du site Web, car elle nécessite moins de puissance de traitement de la part du navigateur de l’internaute. Si les pages chargent plus vite, l’expérience utilisateur est également améliorée et l’affichage des publicités optimisé.

Avantages et inconvénients des deux techniques

Header bidding côté clientHeader bidding côté serveur
AvantagesCette configuration améliore la transparence et le contrôle côté éditeurs. En utilisant la technologie open source Prebid JS, vous avez accès à tous les partenaires de demande compatibles.

Les cookies sont directement synchronisés entre les utilisateurs, les vendeurs et les acheteurs, ce qui permet aux annonceurs d’identifier l’utilisateur qui se trouve sur le site de l’éditeur. 
Les éditeurs peuvent ajouter d’autres SSP et régies publicitaires pour participer aux enchères. 

Le header bidding côté serveur unifie les enchères au lieu de gérer et de configurer chaque ad unit séparément.
Il améliore la vitesse de chargement de la page et l’expérience utilisateur.
InconvénientsCe système augmente la latence de la page car il exécute toutes les requêtes publicitaires sur le navigateur de l’utilisateur, ce qui peut dégrader l’UX.

Les navigateurs peuvent limiter le nombre de partenaires de demande qui communiquent simultanément. Cette configuration peut être incompatible avec certains navigateurs qui bloquent les connexions aux pixels externes, ce qui se traduit par des enchères peu performantes.
Il entraîne un manque de transparence, car le processus d’enchères se déroule à l’intérieur du serveur, les éditeurs n’ont aucun contrôle sur ce processus. 

Il entraîne une baisse du taux de matching des cookies. En effet, la plupart des données utilisateur sont filtrées lors de leur transfert vers le serveur, ce qui rend plus difficile l’identification et le ciblage des utilisateurs par les annonceurs.  

Quelle solution les éditeurs doivent-ils privilégier ?

Les deux technologies présentent des avantages et des inconvénients, ce qui fait qu’il est difficile de savoir laquelle est la plus adaptée à votre monétisation publicitaire, à moins que vous ne puissiez tester les deux.

Même si la technologie côté serveur améliore considérablement le référencement, la méthode la plus utilisée aujourd’hui reste le header bidding côté client. Cela s’explique pour quatre raisons:

  1. Parce que les éditeurs préfèrent éviter la complexité technique liée à une implémentation côté serveur : l’infrastructure du serveur, les demandes d’enchères et la gestion de synchronisation des cookies.
  2. En outre, certains SSP peuvent encore utiliser des cookies tiers pour le ciblage et ne sont pas encore compatibles avec le header bidding côté serveur.
  3. Dans la mesure où les cookies tiers sont toujours disponibles dans le navigateur Google Chrome, les éditeurs choisissent de continuer à en bénéficier aussi longtemps que possible.
  4. Enfin, Prebid JS évite tout simplement les frais supplémentaires liés aux serveurs.

Toutefois, il est essentiel de préparer la fin des cookies tiers. Lorsque ces derniers seront supprimés de Chrome, les deuxième et troisième arguments disparaîtront et les éditeurs qui continuent à utiliser le header bidding côté client risquent de perdre de l’audience en raison de la latence, plus ou moins importante, de leurs pages.

Chez Opti Digital, nous avons développé notre premier wrapper Prebid côté serveur en 2019. Depuis sa sortie, et après avoir appréhendé sa complexité, nous avons fait le choix de constamment optimiser les paramètres de cette technologie, pour atteindre aujourd’hui des résultats optimaux. Les coûts du serveur sont mutualisés et contrôlés par notre département IT.

La configuration du serveur Prebid étant délicate, les éditeurs peuvent bénéficier de notre expertise pour anticiper la fin des cookies tiers.

Pour réduire la latence de votre site web et augmenter votre audience, contactez-nous !

Opti All-in-One : la formule all-inclusive indispensable pour les éditeurs

Comment réussir à s’y retrouver parmi l’abondance de solutions publicitaires qui inondent le marché ? Répondant toutes au même objectif d’optimisation des revenus, choisir une solution plutôt qu’une autre s’avère être un travail de longue haleine pour vous, éditeurs de média en ligne. Pour ne pas multiplier les partenaires technologiques au risque de rencontrer des problèmes d’incompatibilité, une surpression publicitaire ou encore une UX négative ET vous concentrer sur votre cœur de métier, Opti Digital à la solution : Opti All-in-one. Cette solution “managed” pilote et optimise l’intégralité de votre gestion publicitaire. Zoom sur Opti All-in-One, un concentré de fonctionnalités indispensables pour votre portefeuille et votre temps. 

Que comprend notre solution 360º ?

Opti All-in-one est composée de technologies publicitaires avancées et agiles adaptées aux sites de contenus éditoriaux, petites annonces et forums : un must-have pour faire passer votre monétisation publicitaire à la vitesse supérieure.

1. L’insertion dynamique d’annonces au sein des contenus

Notre solution place les publicités automatiquement dans les pages, identifiant les emplacements à haut potentiel, et exploitant tous les espaces alors qu’un placement manuel pourrait en oublier certains, en bas de page, de sidebar ou au sein d’articles longs. En d’autres termes, cette technologie intelligente insère les annonces au cœur des contenus éditoriaux et harmonise la répartition des emplacements publicitaires d’un média. 

2. Le Header Bidding

Nos technologies de Header Bidding Prebid Client et Prebid Server pour Web & AMP mettent en concurrence plusieurs sources de demande pour un même inventaire. Nous sélectionnons les SSPs (Sell-Side Partners) avec soin en fonction de leur valeur incrémentale afin de préserver également le temps de chargement du site. Notre objectif est de garantir un excellent taux de remplissage et un niveau de revenu publicitaire optimal.  

3. Le chargement tardif des publicités

Aussi appelée Lazy Loading, cette fonctionnalité permet à la publicité de se déclencher uniquement lorsque l’utilisateur s’en approche. Bénéfique pour la visibilité, le Lazy Loading améliore également l’expérience utilisateur, en diminuant le temps de chargement de la page, et participe à un meilleur référencement naturel.

4. Le rafraîchissement intelligent sous condition de visibilité

Ce module augmente le nombre d’affichages par visite, sans nuire à l’expérience utilisateur. En effet, la nouvelle publicité s’affiche une fois que la précédente a été visionnée. Cette technologie que l’on appelle aussi In-View Ad Refresh augmente la rentabilité publicitaire et n’ajoute pas de formats intrusifs ou flottants au-dessus des contenus. 

5. La monétisation des inventaires non consentis

Nous nous adaptons aux différents cas de figure : en cas de consentement positif avec Google Ad Manager pour optimiser la diffusion d’annonces ciblées ; Et, en cas de consentement négatif ou d’absence de choix grâce à des solutions respectueuses du RGPD : Limited Ads et / ou Opti Digital Ad Server, qui permettent un ciblage contextuel sans cookies. 

6. Opti Yield

Notre dernière technologie en date puise sa force dans l’intelligence artificielle. Elle permet aux éditeurs de gagner plus de revenus sans augmenter leur pression publicitaire grâce à la mise en place de prix planchers dynamiques. Ces prix planchers sont calculés automatiquement et communiqués à tous les SSPs impliqués dans les enchères publicitaires, de manière transversale. Cela garantit une mise en compétition plus juste où les différents partenaires ont accès aux informations de prix planchers en amont à égalité avec Google. Opti Yield ne modifie en rien la configuration de l’éditeur et permet de gagner du temps sans avoir besoin de ressources humaines supplémentaires et surtout sans risque. 

7. Le respect de l’expérience utilisateur

Notre technologie permet de préserver l’UX : d’une part, elle permet de réserver une hauteur minimum dynamique pour chaque bloc d’annonce afin d’éviter les sauts de contenu pénalisés par Google dans son programme Core Web Vitals, même en cas de refresh dans une taille différente. D’autre part, Opti All-in-one anticipe les marges entre le contenu et la publicité pour éviter tout clic non intentionnel qui pourrait déclencher le non-respect des politiques de Google. Enfin, notre script avec de nombreux partenaires publicitaires connectés côté serveur préserve le temps de chargement de vos pages et donc l’UX et votre référencement. 

Comment déployons-nous Opti All-in-one ?

Nos technologies publicitaires sont mises en œuvre afin d’activer ces 5 leviers d’optimisation :

  • La pression publicitaire : un équilibre essentiel pour exploiter votre média à sa juste valeur. Celle-ci ne doit pas être trop élevée pour ne pas nuire à l’UX, et pas trop faible pour maintenir un bon niveau de revenu. 
  • La visibilité : indispensable pour séduire les acheteurs qui préféreront investir dans un inventaire au taux de visibilité élevé, souvent supérieur à 70%. 
  • Les consentements : pour monétiser votre audience en toute circonstance, avec ou sans consentement à la publicité ciblée et dans le respect du RGPD.
  • Le remplissage : un indicateur de performance nécessaire au bon rendement d’un média. Il est important qu’un taux de remplissage soit élevé, car cela signifie qu’il y a une réponse positive aux bid requests de la part des annonceurs.
  • La compétition et le prix : Deux paramètres à stimuler et optimiser en vue d’accroître vos performances publicitaires globales et le RPM Page (Revenu pour mille impressions).

La mise en œuvre d’Opti All-in-one nécessite que vous intégriez notre script dans le Header de votre site web. Pour la suite, nous prenons la main. Nos technologies ne requièrent aucun setup de votre côté et sont déployées à distance, en managed-service, par notre équipe d’experts via notre outil d’administration des sites :

Exemple de configuration d’un adslot

La mesure de son efficacité

Pour suivre la performance d’Opti All-in-one, nous mesurons le RPM Page (revenu pour 1000 pages vues) des éditeurs, un indicateur de revenu essentiel en publicité digitale qui se calcule de la façon suivante : (Revenu total / pages vues) x 1000

Le RPM Page est la conséquence de tous les autres indicateurs de performance : taux de remplissage, compétition, visibilité… et est un élément clé dans l’analyse de votre rentabilité publicitaire. 

Pour approfondir, lire : Quelles données analyser pour maximiser vos gains publicitaires ? 

Pour que les éditeurs puissent suivre en temps réel leurs résultats publicitaires, nous mettons à disposition une plateforme analytique. Cet outil puissant de business intelligence centralise les principaux KPI et offre une vue d’ensemble sur les performances globales. 

Pour en savoir plus sur notre dashboard, nous vous invitons à visionner notre série de tutoriels disponible sur notre chaîne YouTube :

Efficace, agile et sans engagement sur la durée, Opti All-in-One est une solution performante qui met en valeur votre inventaire publicitaire et fait gagner un temps précieux. Outre ces avantages, notre solution phare se synchronise avec votre Ad Server et vous permet de garder la main sur vos campagnes publicitaires dans Google Ad Manager. Si vous n’avez pas d’accès à Google Ad Exchange, nous le créons pour vous, vous offrant ainsi l’opportunité de négocier des Deals IDs sur votre propre siège vendeur, en programmatique garanti, accords préférés et enchères privées.

Grâce à Opti All-in-one, nous observons en moyenne une hausse de 40% des revenus, un taux de visibilité de 70% et un taux de remplissage de 90% sur l’ensemble de notre réseau d’éditeurs. Notre solution offre aussi de meilleures performances sur leurs campagnes en gré à gré : meilleure visibilité, meilleur volume, meilleur CTR… 

Et vous, où en êtes-vous dans l’optimisation de votre monétisation publicitaire ? Dites-nous tout.

Pourquoi vos revenus publicitaires baissent-ils chaque année en janvier, juillet et août ?

L’été est arrivé, période la plus redoutée par les éditeurs, au même titre que janvier. La raison ? Une chute des eCPMs et de mauvaises performances publicitaires globales. Cet effet récurrent année après année est commun à l’ensemble des éditeurs. Plusieurs raisons en sont la cause… Découvrez-les dans cet article et apprenez à les contrer en mettant en place quelques bonnes pratiques.

Pourquoi observe-t-on une baisse des performances publicitaires à certaines périodes ?

Chaque année, c’est le même constat. Les statistiques publicitaires de janvier, juillet et août nous font grincer des dents. Voici les principales raisons :

  • Moins d’intentions d’achat et de campagnes publicitaires en début d’année.

Après le quatrième trimestre, les intentions d’achat des utilisateurs diminuent et les sites e-commerce enregistrent moins de visites.

En raison de cette baisse de trafic, la plupart des annonceurs réduisent considérablement leur participation aux enchères. En effet, ils ont tendance à modérer leurs dépenses et à être plus prudents avec leur budget publicitaire au début de l’année, ce qui entraîne une baisse des eCPMs.

  • Pause estivale. 

En juillet et août, les utilisateurs ralentissent leurs navigations sur le Web pour profiter pleinement de leurs vacances estivales. La chute des revenus en été s’explique aussi par le fait que les budgets sont parfois revus en début de semestre. Juillet correspond au démarrage du 2ᵉ semestre où les dépenses sont davantage réparties sur le dernier trimestre. 

D’autres raisons, plus ponctuelles, peuvent expliquer une baisse d’audience et de revenus, telles que :

  • L’inflation. 
  • Le contexte géopolitique (la guerre entre la Russie et l’Ukraine depuis février 2022).
  • Une augmentation des consentements négatifs en 2022 vs. 2021 avec la mise en application du nouveau format de CMP (options “refuser tout” ou “continuer sans accepter” sur le premier écran de la CMP). La comparaison entre ces deux années doit toutefois être prudente. Q2 2021 était une période exceptionnelle de reprise après le confinement.

Comment atténuer cette baisse ? 

Pour pallier cette baisse, plusieurs techniques s’offrent à vous :

  • Adoptez la bonne stratégie de prix planchers

La demande annonceur étant plus forte au quatrième trimestre, nous vous conseillons d’augmenter les prix planchers pour cette même période. En revanche, il est préférable de les réduire en janvier. 

Plutôt que de le faire manuellement, nous recommandons de mettre en place une stratégie automatique. Notre technologie d’optimisation des prix planchers dynamique ajuste les prix planchers en fonction de la saisonnalité et d’un grand nombre de critères calculés grâce à l’IA. Cette stratégie permet de maintenir un bon niveau de revenu pour les éditeurs et offre de la transparence aux SSPs puisque le prix plancher est communiqué en amont des enchères à toutes les places de marché. 

Pour aller plus loin : découvrez Opti Yield, une solution qui optimise de manière dynamique votre tarification publicitaire.

  • Optimisez vos inventaires publicitaires. 

Vous pouvez, notamment, proposer des formats aux eCPMs élevés comme les formats adhérents en pied de page ou au-dessus de la ligne de flottaison (sticky) et l’interstitiel. 

Nous vous recommandons aussi de choisir une solution d’intégration automatique des publicités sur vos pages qui hébergent des contenus longs pour ne pas oublier de monétiser certains inventaires. 

  • Améliorez votre SEO et votre taux de visibilité. 

Optimisez votre site pour qu’il se charge rapidement et qu’il soit bien référencé dans les SERPs en vue de gagner du trafic et donc, des revenus complémentaires. Nous vous conseillons aussi d’améliorer la visibilité des annonces grâce au chargement tardif par exemple, afin d’augmenter la vitesse de chargement de votre site et obtenir un meilleur taux de remplissage. En effet, les annonceurs préfèrent investir dans un inventaire qui présente un taux de visibilité élevé, supérieur à 70%. 

  • Tirez parti des mois les plus performants

Les mois de juin, octobre, novembre et décembre sont ceux où les annonceurs concentrent leurs dépenses publicitaires (hausse du trafic avant les départs en vacances d’été, Black Friday, Thanksgiving aux États-Unis et Noël). C’est pour cela que les recettes publicitaires sont généralement plus élevées lors des 2ᵉ et 4ᵉ trimestres puisque le trafic et l’engagement des utilisateurs augmentent. Maximiser vos revenus sur ces mois peut vous permettre de compenser la baisse de votre chiffre d’affaires en janvier, juillet et août. 

Chez Opti Digital, nous suivons en permanence les performances publicitaires de nos éditeurs via notre tableau de bord et nous vérifions systématiquement que notre setup reste optimal. Nos technologies d’optimisation dynamiques des prix planchers, d’insertion automatique en cœur de contenu ou de rafraichissement intelligent des annonces sont à même de compenser la perte de revenu saisonnière.

Si vous avez des questions sur nos produits et notre accompagnement, contactez-nous 😊

Tout savoir sur les prix planchers en publicité programmatique

En quelques années, le marché de la publicité digitale a été transformé par des modifications de pratiques publicitaires et l’arrivée en masse d’innovations techniques complexes. Si bien qu’il est aujourd’hui difficile pour les éditeurs de s’y retrouver et d’optimiser efficacement leurs gains publicitaires, alors que les ressources leur font parfois défaut. Mettre en place une stratégie de prix plancher efficace est l’un des nombreux paramètres à prendre en compte pour maximiser les revenus tirés de la publicité. Mais qu’est-ce qu’un prix plancher ? Pourquoi est-ce important de choisir la bonne stratégie de tarification ? Et laquelle choisir ? Explications dans notre article.

Le principe de prix plancher en publicité programmatique

Selon Définitions-Marketing, un prix plancher ou floor price en anglais est “un prix d’enchères minimum spécifié par le support publicitaire aux SSP par le biais de la bid request”. Il s’agit de la valeur en dessous de laquelle une annonce ne peut pas être vendue dans un serveur publicitaire. En d’autres termes, un prix plancher empêche les annonceurs d’acheter à un prix inférieur à un certain montant, garantissant ainsi un revenu minimum par impression pour l’éditeur.

Bien paramétré, le prix plancher est bénéfique à l’audience qui peut profiter d’annonces souvent plus qualitatives. En effet, les publicités de faible qualité sont généralement commercialisées à un coût inférieur à celui fixé par le prix plancher. Mais trouver le niveau de prix plancher idéal n’est pas une évidence pour l’éditeur : un prix plancher trop élevé peut entraîner une hausse des invendus et avoir un impact significatif sur le chiffre d’affaires publicitaire global. D’où l’importance de choisir la bonne stratégie pour votre média.

Les différentes stratégies de prix planchers

Aujourd’hui, il existe plusieurs techniques de prix planchers paramétrables dans l’Ad Server Google Ad Manager. Un prix plancher peut être appliqué sur l’ensemble des inventaires d’un site ou en fonction de critères de ciblage bien définis : par emplacement publicitaire, par appareil, par pays ou par type de format par exemple. Les prix planchers peuvent également être appliqués dans chaque SSP.

prix planchers
Source : Plateforme Google Ad Manager d’un client Opti Digital

Le prix plancher strict

Un prix plancher strict ou statique est un montant fixé par l’éditeur comme prix minimum pour son inventaire publicitaire. Cette stratégie est utilisée pour obtenir des prix plus élevés sur des publicités qui suscitent plus d’engagement. Cette stratégie permet d’éviter certains annonceurs indésirables afin d’offrir aux visiteurs, des annonces qualitatives et rentables. 

En revanche, les prix planchers statiques présentent quelques inconvénients : 

  • Fixer un prix trop élevé peut représenter un manque à gagner en plus de diminuer le taux de remplissage. 
  • Si le prix plancher n’est pas modifié régulièrement et ne tient pas compte du contexte (saisonnalité, jour de la semaine, heures, événements, etc.), les éditeurs peuvent rater des opportunités de vente et de revenus.
  • Cette stratégie peut ainsi, conduire à une baisse du nombre d’affichages et à un RPM plus faible que dans le cadre d’une stratégie avec CPM cible.

Le CPM cible

Le CPM cible permet d’augmenter le taux de remplissage et la rentabilité, tout en maintenant un prix minimum moyen pour l’inventaire. Cette stratégie vise à obtenir un eCPM moyen, généralement plus élevé que pour les prix planchers statiques. 

L’avantage du CPM cible est qu’il protège les éditeurs au cas où il y aurait plusieurs offres en dessous du prix fixé. Le CPM cible permet de diffuser des campagnes avec un CPM légèrement inférieur afin d’optimiser le taux de remplissage. Cette flexibilité est compensée par l’outil avec d’autres opportunités de ventes à un prix supérieur au CPM cible.

L’inconvénient est le manque de transparence : cette limite variable n’est visible que par la place de marché Google Ad Exchange. Les autres partenaires connectés en header bidding ne connaissent pas la limite minimum avant de placer leur enchère.

Les prix planchers dynamiques 

Depuis peu, Google propose en bêta une nouvelle stratégie de prix planchers dans son Ad Server : les prix planchers dynamiques. Propulsée par un algorithme intelligent, cette stratégie permet aux éditeurs de maintenir des prix compétitifs pour leurs annonces en laissant Google fixer le prix minimum. Si la demande pour un inventaire est faible, alors le prix plancher le sera également. À l’inverse, si la demande est élevée, le prix plancher sera plus conséquent. 

Les prix planchers dynamiques peuvent être avantageux pour les éditeurs puisqu’ils garantissent une valeur juste pour un inventaire, fondée sur la participation des bidders aux enchères. 

Néanmoins, cette stratégie a ses limites : 

  • Les prix planchers dynamiques tiennent compte de la fluctuation de la demande, ce qui fait varier le prix pour un même inventaire, pouvant créer une certaine frustration de la part des acheteurs. 
  • Cela augmente le manque de transparence et renforce la position dominante de Google Ad Exchange sur les autres SSPs puisque ces prix planchers sont visibles uniquement par Google Ad Exchange et Open Bidding, mais imposés à toutes les places de marché. Les SSPs connectés via Prebid et Amazon doivent donc sans arrêt ajuster leurs enchères.

Si ces trois méthodes permettent d’éviter la dépréciation des inventaires, elles présentent aujourd’hui des limites importantes.

Bientôt, une nouvelle stratégie sera disponible grâce à Opti Digital. En effet, notre équipe produit constituée de data scientists, d’ingénieurs et de programmeurs informatiques, finalise une technologie d’optimisation des prix planchers intelligente, calculés selon de nombreux critères (historique, page, emplacement, heures, jours de la semaine, etc.). Offrant davantage de transparence à l’ensemble de partenaires de demande, les prix planchers appliqués dynamiquement seront communiqués à tous les ad exchanges connectés à Google Ad Manager : Prebid, Amazon, Google Ad Exchange et Open Bidding. En bêta sur une part du trafic de nos médias, nous observons déjà une hausse moyenne de 40% de leurs gains publicitaires… 

N’hésitez pas à nous contacter, si vous souhaitez en savoir plus avant le lancement : formulaire de contact

Opti Digital Green Challenge : mêler le sport à une action solidaire

C’était il y a bientôt un an. En juin 2021, nous embarquions les éditeurs et les acteurs de l’Ad Tech dans notre premier Green Challenge et les mettions au défi de faire du sport pour la bonne cause. L’objectif ? Marcher, courir ou faire du vélo au profit de l’ONG de défense des océans et des écosystèmes marins : Sea Shepherd. 

Cette année, nous relançons notre défi sportif et solidaire. Mais d’abord, voici un récapitulatif de notre première édition.

1 mois pour relever le défi #OptiDigitalChallenge

Après les mois d’isolement dus à la crise Covid-19, il était temps de se rassembler autour d’une cause commune. Nous avons décidé de lancer, en juin 2021, l’Opti Digital Green Challenge, un défi sportif et solidaire à l’issue duquel nous avons transformé les kilomètres parcourus en don pour Sea Shepherd, l’une des ONG de défense des océans les plus combatives au monde. 

Connectés à l’application Squadeasy, les participants avaient 30 jours pour faire le tour de la planète, une distance de près de 40 000 kilomètres grâce à la marche, la course à pied et/ou le vélo. Près de 30 équipes se sont composées, rassemblant des personnes motivées à l’idée de cumuler un maximum de points pour la planète et à occuper la première place du podium : Manta Rays, Goliath Groupers, Octopuses, Penguins, The Ratecard Flagship, Zebra Sharks… Vous l’aurez compris, le thème de cette première édition était l’océan. 

Pour nous accompagner tout au long de ce challenge, nous avons fait appel à l’entreprise Le Maillot Français pour confectionner des tee-shirts de sport 100% made in France et écoresponsables, fabriqués à base de déchets plastiques transformés en fil marin recyclé. 

183 participants et 30 000 kilomètres parcourus

183 participants ont transpiré pour la bonne cause. Nous ne nous attendions pas à un tel engouement ! Les participants ont fait part d’une implication sans faille tout au long de ce challenge porteur de sens. Certains ont réalisé de véritables exploits sportifs pour faire partie des équipes les plus performantes dont notre fidèle partenaire Ratecard, à la première place du podium.

Retrouvez toutes les photos de nos participants sur Instagram, en suivant le hashtag : #OptiDigitalChallenge

Sur les 40 000 kilomètres visés, nous avons parcouru la très belle distance de 30 000 kilomètres, soit : 

  • 53 marathons
  • 3 fois le tour de France
  • Et presque 2 fois la traversée de la Muraille de Chine

Un bel exploit sportif qui nous a permis de faire un don de 4000 € à l’ONG Sea Shepherd pour les soutenir et contribuer à la protection des écosystèmes marins. 

Au travers de ces actions, Sea Shepherd travaille sur trois axes majeurs : 

  • Dépasser la seule protestation et intervenir de manière active et non violente dans les cas d’atteintes illégales à la vie marine et aux écosystèmes marins
  • Exposer les abus et les pratiques non durables ou non éthiques d’atteinte à la vie marine et à l’intégrité des écosystèmes marins en alertant les médias et l’opinion publique.
  • Sensibiliser au lien essentiel qui nous relie à l’océan à travers diverses interventions en festivals, écoles, organisation de conférences, expositions, publications, films, etc.

Rendez-vous en juin pour l’Opti Digital Green Challenge #2

Vous vous en doutez bien, nous n’avons pas dit notre dernier mot ! Le challenge revient pour une deuxième édition et cette fois-ci, nous comptons bien atteindre l’objectif des 40 000 km… Voire, peut-être, le surpasser. Prêt.es à relever le défi ? Retrouvez tous les détails et inscrivez-vous gratuitement ici.

6 tests A/B à lancer pour optimiser votre RPM Page

Mettre en place de nouveaux paramètres publicitaires, maintenir ceux qui fonctionnent et écarter ceux qui, au contraire, freinent la rentabilité… Un travail fastidieux sans les bons moyens mis à disposition. Dans ce secteur qui se complexifie, les éditeurs sont poussés à adopter plus de technologies pour rester compétitifs. Mais comment savoir si ces technologies sont rentables ? Pour répondre à cette question, nous configurons des tests A/B, qui permettent de prendre des décisions de monétisation avec agilité. Zoom sur 6 tests efficaces pour votre RPM Page ; mais d’abord, un peu plus d’explications sur ce principe de tests A/B.

Comment mettons-nous en œuvre les tests A/B ?

Même si cela peut vous paraître compliqué, le principe des tests A/B appliqués à la monétisation est le même que pour les tests A/B plus répandus pour optimiser les tunnels de conversion chez les e-commerçants notamment. Nous lançons 2 configurations différentes en parallèle sur une même période, auprès de deux groupes d’internautes distincts : le groupe de contrôle et le groupe de test. Nous laissons opérer cette configuration pendant un laps de temps, puis, nous analysons les résultats affichés dans notre tableau de bord Éditeurs, notamment le RPM Page. Cet indicateur est le résultat d’un meilleur taux de remplissage, d’une meilleure densité publicitaire (nombre d’impressions par page) et d’un meilleur eCPM par impression

Lire : Quelles données analyser pour maximiser vos gains publicitaires ?

Tests A/B
Source : Extrait de la page Résultats d’A/B Tests du Dashboard Éditeurs de l’un de nos clients.

Nous observons ici une augmentation du RPM Page global de plus de 14% après avoir lancé un test sur le layout d’un média sur la Finance, en février 2022. Nous avons, en effet, mis en place notre module d’insertion d’annonces de manière automatique sur 11% de son trafic via notre groupe de test. Rendez-vous au paragraphe test #3 – Avec vs. sans insertion automatique en cœur de contenu, pour en savoir plus sur les bénéfices de ce test !

Les 6 exemples de tests A/B pour booster vos revenus

Test #1. Avec vs. sans rafraichissement automatique

Bien implémenté, le rafraîchissement automatique (ou Ad Refresh) est bénéfique pour vos revenus. Chez Opti Digital, nous activons le Refresh sur condition de visibilité. C’est-à-dire que nous le mettons en œuvre seulement si l’emplacement publicitaire est affiché sur l’écran actif de l’utilisateur, une fois le laps de temps écoulé. Pour savoir sur quels emplacements il est préférable de déployer du rafraîchissement intelligent, nous vous conseillons d’A/B tester. Par exemple, sur un site de petites annonces, nous avons mis en place de l’in-viewAd Refresh uniquement sur le pavé grand angle et l’emplacement sticky en pied-de-page sur desktop et mobile. Ce test a non seulement permis d’améliorer la visibilité de l’éditeur, mais il a aussi augmenté de 8% son RPM Page. Aujourd’hui, c’est un module que nous déployons systématiquement, tant il est bénéfique pour la monétisation des éditeurs que nous accompagnons.

Test #2. Mesure de la valeur incrémentale d’un partenaire vendeur

Ce n’est pas toujours simple de savoir quel SSP aura une réelle plus-value pour la monétisation de votre média. Plutôt que d’utiliser tous ceux qui se présentent à vous sur le marché, il est parfois préférable de se focaliser sur les plus performants. Pour les reconnaître, nous vous conseillons d’A/B tester pour mesurer leur valeur ajoutée avant de les déployer sur l’ensemble de vos inventaires en vous posant la question suivante : est-ce que ce bidder participe beaucoup aux enchères et augmente mon RPM Page ? 

L’année dernière, nous avons choisi de déployer Triplelift sur un magazine en ligne avec du contenu éditorial après avoir constaté, via un test A/B, que l’ajout de ce partenaire avait généré plus de 19% d’augmentation de RPM Page.

Test #3. Avec vs. sans insertion automatique en cœur de contenu

Un des modules que nous proposons chez Opti Digital consiste à déplacer les annonces là où elles sont susceptibles d’avoir de meilleures performances, notamment en cœur de contenu (articles, forums…). 

Afin d’évaluer l’efficacité de cette fonctionnalité, nous avons lancé plusieurs fois le test en la mettant en place sur 25% du traffic de notre réseau de médias pour remplacer leurs emplacements statiques. Les résultats générés ont été spectaculaires et ont permis d’accroître leur RPM Page de plus de 10%. Exploiter tous les espaces publicitaires de manière automatique nous permet de découvrir des emplacements nouveaux et d’augmenter le nombre de publicités par page. Aujourd’hui, c’est une optimisation que nous déployons systématiquement sur les pages au contenu long de nos éditeurs, sauf s’ils ne le souhaitent pas.

Test #4. Ajustement de la distance en pixels entre deux annonces en cœur de contenu

Toujours au sujet de l’insertion automatique en cœur de contenu, nous vous recommandons d’ajuster l’espacement entre deux annonces pour augmenter la densité de publicités par page et offrir une bonne expérience utilisateur. L’A/B test est un excellent moyen d’identifier l’espacement idéal entre deux publicités en in-read

Nous avons mené l’expérience sur un média d’expertise scientifique l’année dernière et avons constaté une amélioration nette de ses revenus. Nous avons mis en place une distance de 800 px entre 2 publicités au lieu de 1200 px. Son RPM page a tout de suite augmenté de 6%.

Test #5. Suppression ou ajout d’une taille au sein d’un emplacement

Autre recommandation de test A/B : n’hésitez pas à supprimer les tailles qui ne génèrent pas de bons résultats ou qui détériorent votre expérience utilisateur et, à l’inverse, à en ajouter de nouvelles pour savoir si elles apportent de la valeur. 

C’est ce que nous avons testé, sur un média du secteur de la Finance, l’année dernière, en y ajoutant les tailles 300×600 px, 120×600 px et 160×600 px sur les inventaires de la barre latérale du site qui avaient pour hauteur initiale 250 px. Cela a permis d’ouvrir l’accès à davantage d’annonceurs. Grâce à ce test, le RPM Page de l’éditeur a grimpé de 7%.

Test #6. Ajustement des prix planchers en fonction de critères précis

Chez Opti Digital, nous ajustons les prix planchers de nos clients en fonction de la saisonnalité, critère qui peut varier d’un média à l’autre. Il peut être judicieux d’effectuer un test en période à forte demande afin de faire ressortir le meilleur prix plancher qui permettra de stimuler la compétition en Header Bidding entre les SSPs et la demande de Google

Autre idée de test A/B concernant les prix planchers : les adapter en fonction de la taille d’un bloc d’annonce. D’après notre retour d’expérience, définir un prix plancher plus élevé sur les publicités de grandes tailles a un impact positif sur l’UX en plus de booster le RPM page. Cela permet de diffuser des annonces de meilleure qualité pour l’internaute améliorant ainsi sa navigation sur le site Web. Par exemple, nous avons augmenté le prix plancher de 0,10 cts sur le billboard d’un site de petites annonces, ce qui a permis de générer 2% d’augmentation de son RPM Page. 

Teasing : Pour perfectionner l’optimisation des prix planchers chez Opti Digital, nous finalisons le développement d’une innovation d’automatisation. Nos Data Scientists la façonnent avec le machine learning… Nous avons hâte de vous en dire plus. 

L’année dernière, nous avons développé un outil pour mettre en œuvre nos optimisations publicitaires à distance avec plus d’agilité. Notre technologie propriétaire inclut depuis peu, le lancement des tests A/B. Les possibilités de tests sont infinies, n’hésitez pas à nous soumettre vos idées pour votre média : échangeons !

Visibilité publicitaire : votre meilleur allié pour booster vos eCPMs

“Ce qui n’est pas mesuré ne peut pas être amélioré” – Cet adage est on ne peut plus pertinent dans le secteur de la publicité digitale où la donnée en est la pierre angulaire. Bien maîtriser vos métriques, c’est connaître votre valeur. Et, pour améliorer votre rentabilité publicitaire, de nombreuses données rentrent en jeu dont la visibilité. Dans cet article, nous vous aidons à mieux comprendre ce KPI et vous donnons 3 pistes pour l’améliorer.

Qu’est-ce que la visibilité publicitaire ?

Métrique incontournable de la publicité programmatique, elle évalue la visibilité des annonces affichées sur un site auprès de ses utilisateurs. Il s’agit, en d’autres termes, des affichages d’annonces sur l’écran de l’internaute et vus par ce dernier. 

Selon l’IAB (Interactive Advertising Bureau), un affichage est considéré comme visible s’il répond à un certain nombre de critères : 

  • 50% d’une annonce de taille petite à moyenne doivent être vus au moins 1 seconde par l’utilisateur. 
  • 30% d’une publicité de grande taille (plus de 242 000 pixels) doivent être vus dans la fenêtre du navigateur.
  • 50% d’une vidéo instream doivent être visibles de façon ininterrompue pendant minimum 2 secondes. 

Ces données sont consultables dans les rapports Active View fournis par l’Ad Server Google Ad Manager. D’autres solutions validées par le Media Rate Council (MRC) existent pour mesurer ce taux de visibilité à l’instar de Integral Ad Sciences.

Comment la mesure-t-on et pourquoi est-elle essentielle pour améliorer vos performances publicitaires ?

La visibilité publicitaire se mesure de la façon suivante : 

Pour les acheteurs, un bon taux de visibilité permet de vérifier l’efficacité des inventaires et est un critère d’achat incontournable. En effet, cette métrique permet aux annonceurs d’évaluer dans un premier temps la qualité potentielle des inventaires disponibles sur les sites des éditeurs : plus une publicité est vue et meilleurs seront le taux de clics et le taux de conversion. Une fois qu’ils ont analysé le taux de visibilité d’un emplacement, ils peuvent ajuster la valeur de leurs offres publicitaires. Les grandes marques exigent des taux de visibilité supérieurs à 70%. Pour augmenter vos chances de les séduire, pensez à bien mettre en avant votre taux de visibilité sur votre kit média et dans votre profil Google Ad Manager, dans la section Sales > Deals Settings.

Plus votre visibilité est élevée, meilleur est votre taux de remplissage et votre eCPM. Le lien de cause à effet entre la visibilité et les revenus publicitaires est facilement observable. Voici une démonstration dans notre tableau de bord sur un éditeur anonymisé :

Après avoir déplacé un bloc d’annonce le 17 septembre 2021, son taux de visibilité est passé de 62% à presque 70%, et son eCPM a grimpé de 30% dans les 5 jours après la mise en place de cette optimisation. Ce court délai vient du fait que lorsque les acheteurs sélectionnent un certain critère de visibilité, la donnée prise en compte pour filtrer les inventaires éligibles est la moyenne des taux de visibilité des 7 derniers jours.

La visibilité fait donc partie de notre plan d’attaque pour optimiser les revenus des médias au même titre que la mise en page, la compétition, les consentements, le taux de remplissage et l’UX. Chez Opti Digital, les éditeurs que nous accompagnons atteignent une moyenne de 70% de taux de visibilité cross-device après avoir déployé notre solution 360º sur leurs sites, ce qui représente une hausse de plus de 20 points par rapport à leur visibilité moyenne initiale.

3 bonnes pratiques pour optimiser votre taux de visibilité

Il est indispensable de mesurer la visibilité de chaque emplacement sur chaque page afin de faire des ajustements précis et efficaces sur l’agencement de votre site et son temps de chargement.

L’outil de reporting que nous mettons à disposition des éditeurs rend possible cette analyse granulaire. N’hésitez pas à regarder notre rapide tutoriel sur la visibilité publicitaire pour comprendre comment nous mesurons cette donnée.

Pour booster votre taux de visibilité, voici 3 bonnes pratiques à appliquer : 

  1. Optimiser l’emplacement des publicités : placez les annonces au-niveau de la ligne de flottaison, en cœur de contenu et en adhérence en bas de l’écran. Les taux de visibilité sont généralement élevés à ces emplacements. Évitez les emplacements en haut de l’écran non-sticky, car l’internaute descend vite sur la page. Pour identifier les positions à haut potentiel sur votre site et y afficher de la publicité de façon automatique, nous avons développé une technologie d’insertion dynamique des annonces.
  1. Ajuster votre stratégie de chargement des annonces : chargement direct ou différé ? Adaptez l’affichage de vos annonces en fonction de votre contenu et de la navigation de vos utilisateurs. Si le chargement est différé, ajustez la configuration du lazy loading pour qu’il soit plus rapide sur les diaporamas de photos et plus lent sur les contenus rédactionnels plus longs à consommer. D’après notre expérience, nous recommandons d’appliquer du lazy loading sur l’ensemble de vos inventaires publicitaires pour améliorer votre SEO et votre rentabilité. Avec le bon paramétrage, l’augmentation de l’eCPM et du taux de remplissage compensera la perte d’affichages.
  1. Mettre en œuvre du rafraichissement automatique sur condition de visibilité : Mis en place de manière granulaire et contrôlée, le rafraichissement dynamique s’avère être un excellent moyen pour optimiser l’expérience utilisateur, la visibilité et les revenus. Chez Opti Digital, nous contrôlons dans le détail le déclenchement des refreshs : Une fois le laps de temps imparti passé, on active un refresh seulement si l’emplacement publicitaire est visible sur l’écran actif de l’internaute. Les affichages ultérieurs ont généralement une visibilité supérieure au premier. De plus, les refresh multiplient le nombre d’impressions et augmenteront vos revenus.

Pour aller plus loin dans l’optimisation de la visibilité, nous faisons de l’A/B testing et mesurons avec précision quelle est la meilleure configuration possible par page et par emplacement publicitaire.

Vous l’aurez compris, la visibilité publicitaire est un KPI à ne pas oublier pour booster vos revenus. Métrique suivie de près par les annonceurs, il est donc essentiel de l’optimiser pour être sûr d’attirer les meilleures campagnes et d’utiliser tout votre potentiel publicitaire. Vous cherchez une solution pour l’optimiser ? Faites appel à notre expertise. 

La solution de Lazy Loading d’Opti Digital, incontournable pour votre monétisation publicitaire

Le Lazy Loading d'Opti Digital
Le Lazy Loading, aussi connu sous le nom de chargement tardif ou chargement différé, est devenu un must-have pour optimiser les revenus publicitaires des éditeurs. Chez Opti Digital, cette technologie permet non seulement d’atteindre des taux de visibilité supérieurs à 70% sur tous nos inventaires cross-device, mais aussi d’améliorer considérablement la performance globale des médias, notamment leur vitesse de chargement. Zoom sur cette solution innovante.

Le Lazy Loading : définition ?

Selon l’encyclopédie digitale, Définitions-Marketing, “le lazy loading est un procédé technique qui permet de s’assurer qu’une publicité n’est chargée au sein du navigateur qu’après les éléments principaux de la page. Le lazy loading est notamment utilisé pour charger des créations publicitaires qui se situent en dessous de la ligne de flottaison. Dans ce cadre, l’élément publicitaire n’est chargé que lorsque le visiteur scrolle vers le bas dans la page.” 

Les avantages du chargement tardif sont nombreux. Parmi eux, on retrouve l’amélioration de la visibilité publicitaire. Chez Opti Digital, les taux de visibilité des éditeurs atteignent 70%, une moyenne cross-device non négligeable lorsque l’on sait que la tendance en France est d’environ 49% pour le Web, d’après le baromètre du programmatique de ZBO (juillet-août 2021). 

De l’amélioration des taux de visibilité en découle une augmentation des eCPM (revenus pour mille impressions), comme le démontre ce graphique extrait du Dashboard de l’un de nos éditeurs : 
Évolution conjointe du taux de visibilité et des eCPM

Dans l’exemple ci-dessus, l’éditeur a déplacé un emplacement publicitaire pour en améliorer la visibilité le 17 septembre 2021. Les eCPM observés progressent ensuite avec un décalage de 5 jours, le 22 septembre 2021. En effet, les données de visibilité prises en compte par les acheteurs programmatiques sont, en général, la moyenne des 7 derniers jours de l’éditeur. À compter du 22 septembre, les inventaires de cet éditeur deviennent éligibles à davantage de campagnes publicitaires, ce qui augmente la demande et les eCPM. 

Le chargement tardif présente d’autres avantages : il améliore l’expérience utilisateur et participe à un meilleur référencement naturel sur les moteurs de recherche. En effet, les publicités sont affichées progressivement, en fonction de la navigation de l’utilisateur et non pas lors de l’arrivée sur la page. Cela allège le poids de la page, réduit son temps de chargement et l’internaute peut consommer le contenu plus rapidement.

La Lazy Loading et notre stack intégrée

Cette année, nous avons développé une technologie propriétaire pour administrer les configurations publicitaires des sites et simplifier leur modification à distance par notre équipe (en managed-service) : le Tag Manager d’Opti Digital. Cet outil innovant permet notamment de configurer facilement et rapidement les paramètres de Lazy Loading de manière précise : par page, par appareil et par emplacement. 

Capture d’écran du Tag Manager d’Opti Digital

Chez Opti Digital, nous sommes fournisseurs de technologies digitales, indispensables pour la monétisation des éditeurs. Notre solution de chargement différé complète plusieurs autres modules au sein d’une stack intégrée :

  • L’insertion automatique : Notre algorithme est capable d’analyser précisément le potentiel publicitaire d’un site média et d’y afficher automatiquement des annonces là où elles sont susceptibles d’avoir les meilleures performances. 
    En savoir plus sur l’insertion dynamique
  • Le rafraîchissement intelligent : Cette fonctionnalité démultiplie les impressions en affichant une nouvelle publicité au sein d’un emplacement selon plusieurs conditions définies en amont : visibilité, durée, annonceur, position dans la série.
    Plus d’explications sur le rafraîchissement intelligent
  • L’expérience utilisateur stable et le CLS (Cumulative Layout Shift) : Nos tags évitent les sauts de contenu pénalisés par Google dans son programme Core Web Vitals. Nos éditeurs peuvent ainsi monétiser leurs inventaires sans perturber l’expérience utilisateur et préserver leur bon référencement naturel. 
    Plus d’informations sur l’optimisation du score CLS

Le Lazy Load piloté par la donnée

D’après notre retour d’expérience sur le chargement tardif, il est primordial d’adapter cette technologie au contenu d’une page grâce à l’analyse du site et des données. Exemples :

Très lazy : Si une page héberge des contenus qui se consomment rapidement, comme des diaporamas de photos par exemple, l’internaute a tendance à scroller vite au risque de ne pas laisser le temps à la publicité de se charger. Nous recommandons d’allonger la distance d’appel de l’annonce (à 1000 pixels) afin d’être sûr d’avoir le temps de charger l’annonce lorsque l’internaute arrive.

Peu lazy : Maintenant, prenons l’exemple d’une page hébergeant un contenu éditorial rédigé par des experts, sur des sujets complexes. Dans ce cas de figure, l’utilisateur prend le temps de consommer l’information et descend lentement. Nous devons charger la publicité à 300 pixels seulement de l’annonce, quand l’internaute est sur le point de la voir.

Dans l’ensemble, nos études révèlent qu’il est préférable de mettre en place du lazy loading sur l’ensemble des inventaires plutôt que d’appliquer du chargement direct, tant cette technologie est avantageuse pour le SEO et la rentabilité publicitaire. 

Les bénéfices du Lazy Loading chez Slate.fr

Lancé en 2009, Slate.fr est aujourd’hui une référence en termes de contenus et d’analyses sur la culture, la politique, l’économie ou encore les évolutions de notre société. Nous accompagnons l’éditeur de ce média depuis janvier 2020 tant sur sa stratégie publicitaire que sur ses opérations d’Ad Serving et de monétisation programmatique. 

Nous avons intégré notre solution de chargement tardif sur ce site web et sur ses pages AMP alors que les taux de visibilité ne dépassait pas les 40 %. Résultat : l’éditeur affiche aujourd’hui un taux de visibilité moyen à plus de 70 %.  

Vous l’aurez compris, le chargement tardif présente bien des avantages pour la monétisation des sites. Mis en place de façon mesurée et adaptée aux contenus des pages, cette solution est bénéfique au SEO, à l’UX et à la visibilité et par conséquent à la rentabilité publicitaire. Besoin de plus d’explications sur notre accompagnement ? Contactez-nous !

Comment minimiser l’impact de la publicité sur le score CLS des Core Web Vitals ?

L’année dernière, Google annonçait un nouvel indicateur de performance Web : Les Core Web Vitals mesurés par le temps de chargement (LCP), l’interactivité (FID) et la stabilité visuelle d’un site (CLS). Une initiative visant à sensibiliser davantage les éditeurs à l’expérience utilisateur et ainsi optimiser le classement de leurs sites dans les SERP. Ces nouveaux signaux, entrés en vigueur en juin 2021, viennent s’ajouter aux indicateurs SEO déjà existants, comme l’ergonomie mobile, la navigation sécurisée, la sécurité HTTPS et les consignes concernant les interstitiels intrusifs.

Les critères Google Page Experience © Google

Avec ces nouveaux critères essentiels, tous les éléments qui composent les pages web sont analysés par l’algorithme du moteur de recherche leader et peuvent avoir un impact sur les performances globales d’un site : texte, vidéo, image, code et… la publicité. Comment minimiser les conséquences de la publicité sur les Core Web Vitals et protéger son référencement ? Avant de vous présenter notre solution d’optimisation du score CLS, commençons par comprendre ce que sont les Core Web Vitals.  

 

Faut-il craindre les Core Web Vitals ?

L’objectif de Google est clair. Avec les Core Web Vitals, le géant de Mountain View souhaite favoriser les sites proposant la meilleure expérience utilisateur – Et, à l’inverse, pénaliser les pages non optimisées : au temps de chargement lent, non adaptées au mobile, avec des publicités trop intrusives ou un décalage de contenu venant altérer la navigation de l’utilisateur.

Les éditeurs n’ont pas pris l’annonce des Core Web Vitals à la légère puisqu’en novembre dernier, Google déclarait “une augmentation moyenne de 70% du nombre d’utilisateurs interagissant avec Lighthouse et PageSpeed Insights”, deux outils qui permettent de mesurer la qualité de l’UX. 

 

Les 3 indicateurs des CWV

 

  • LCP (Largest Contentful Paint) : Cette métrique analyse le temps de chargement d’un site. Un bon LCP doit se produire dans les 2,5 secondes qui suivent le début de chargement de la page.
  • FID (First Input Delay) : Ce facteur mesure le temps nécessaire pour qu’une page soit interactive. Le FID ne doit pas dépasser 100 ms. 
  • CLS (Cumulative Layout Shift) : Cet indicateur prend en compte la stabilité visuelle d’une page. Pour une bonne expérience utilisateur, la mesure idéale est inférieure à 0,1.

C’est sur cette dernière métrique, CLS, que nous concentrons nos efforts afin d’éviter les sauts de contenus causés par le chargement ultérieur de publicités. Les éditeurs ont tout à gagner à optimiser les critères Core Web Vitals. En effet, maintenir une bonne UX est un point indispensable pour accroître son trafic. En optimisant leur score CLS, nous accompagnons aussi les éditeurs dans leur acquisition d’audience

 

Notre solution pour optimiser le score CLS

Chez Opti Digital, les emplacements publicitaires mettent en compétition les annonces de plusieurs tailles, ce qui cause des sauts de contenus inattendus notamment lorsqu’il y a des rafraîchissements. Pour éviter cela, nous avons développé une nouvelle solution pour optimiser le score CLS des éditeurs directement depuis nos tags. Nous créons une div parente aux divs des tags publicitaires avec une hauteur minimum. Si une création de petite taille gagne l’enchère, nous définissons un centrage vertical en CSS. Cela réduit visuellement les marges qui peuvent apparaître en centrant la publicité en hauteur.

Par exemple, voici les tailles minimum que nous paramétrons :

  • 250px pour les emplacements Pavés sur Mobile
  • 280px pour les emplacements Pavés in-read sur Ordinateur
  • 600px pour les emplacements en Grands Angles
  • 250px pour les emplacements Méga Bannières

Lire : Les meilleurs formats publicitaires en 2021

Grâce à cette solution, l’un de nos clients présentant un contenu éditorial a diminué le nombre de sauts de contenus sur son site et offre ainsi une meilleure expérience utilisateur à son audience :

Score CLS de notre client avant et après les optimisations d’Opti Digital (en janvier 2021 & en mai 2021)

 

De plus, depuis la mise en place de l’optimisation des tags publicitaires, un éditeur de site de petites annonces qui génère des leads sur le secteur immobilier et automobile, a observé une amélioration de son taux de conversion.

Grâce à nos solutions adaptées aux exigences des Core Web Vitals, les éditeurs peuvent continuer à monétiser leurs inventaires publicitaires sans perturber l’expérience utilisateur et ainsi s’assurer d’un bon positionnement dans les SERP pour l’acquisition d’audience.

Envie de tester nos solutions ? Des questions sur les optimisations que nous mettons en place pour améliorer votre score CLS ? N’hésitez pas à contacter votre Account Manager ou à nous écrire ici.