Ads.txt et sellers.json : tout ce que vous devez savoir

Dans le contexte en pleine évolution de la publicité programmatique, de nombreuses initiatives sectorielles ont émergé pour relever les défis liés à la transparence, la fraude et à la confiance. Parmi celles-ci, la mise en œuvre des fichiers ads.txt et sellers.json, largement adoptés par l’industrie de la publicité en ligne. Dans cet article, nous verrons comment les mettre en œuvre et quels sont leurs principaux avantages.

I- Qu’est-ce qu’un fichier Ads.txt et comment l’implémenter sur son site?

a) Objectif et origine du fichier ads.txt

Ads.txt, qui signifie Authorized Digital Sellers, est une initiative mise en place par l’IAB Tech Lab, pour permettre aux éditeurs de déclarer publiquement quels vendeurs sont autorisés à vendre leur inventaire publicitaire numérique. En ne déclarant que des partenaires de confiance dans ce fichier, les éditeurs s’assurent que les annonceurs ne se voient pas proposer un inventaire frauduleux. Dans le fichier ads.txt, les vendeurs sont identifiés par un numéro de compte unique (ID), de sorte que les annonceurs peuvent croiser les numéros de compte des vendeurs répertoriés dans le fichier ads.txt avec les vendeurs avec lesquels ils souhaitent travailler. De cette façon, les annonceurs peuvent s’assurer que les vendeurs avec lesquels ils travaillent sont reconnus par l’éditeur.

Bien que la mise en œuvre de ce fichier ne soit pas obligatoire, il est fortement recommandé aux éditeurs de médias en ligne de le faire. En effet, il est prouvé que l’implémentation de ce fichier permet d’attirer davantage d’annonceurs. En plus de promouvoir la transparence et limiter la fraude publicitaire, ces informations aident les acheteurs à comprendre le chemin le plus court pour accéder directement à l’inventaire de l’éditeur, sans intermédiaire.

b) Comment configurer son fichier Ads.txt ?

Les éditeurs peuvent créer un fichier ads.txt, à l’aide d’outils simples tels que Notepad, avant de le charger directement dans le répertoire racine de leur site. Chaque ligne correspond à un vendeur et se compose d’une série d’informations spécifiques, indispensables à l’identification du vendeur.

SSP, ID de l’éditeur, ID du compte, ID de l’autorité de certification

Fichier ads.txt
Extrait d’un fichier ads.txt d’un éditeur travaillant avec Opti Digital

Pour s’assurer que leur fichier ads.txt est correctement mis en œuvre, les éditeurs peuvent ajouter à la fin de leur domaine « /ads.txt » (nomdusite.com/ads.txt). Le navigateur doit afficher le contenu du fichier ads.txt, avec les vendeurs autorisés et leurs coordonnées. Nous recommandons également aux éditeurs de vérifier que leur fichier ne contient pas d’erreurs de syntaxe. Pour cela, plusieurs outils sont disponibles sur le marché, comme Ads.txt Guru ou sellers.guide. Nous conseillons également aux éditeurs de revoir périodiquement leur fichier Ads.txt afin de s’assurer qu’il reste à jour et qu’il ne contient pas d’entrées non autorisées.

En outre, en raison des changements réguliers dans le secteur, le fichier ads.txt est fréquemment mis à jour. Ainsi, depuis avril 2023, il est possible de clarifier davantage la relation entre les éditeurs et les partenaires de la demande. Deux nouveaux champs ont été ajoutés à la liste : MANAGERDOMAIN, qui spécifie l’entité qui gère l’inventaire au nom de l’éditeur, et OWNERDOMAIN, qui spécifie l’entité qui possède le domaine. 

Maintenir un fichier Ads.txt complet et sans erreur est essentiel pour prévenir la fraude publicitaire et établir une relation de confiance avec les acheteurs publicitaires. Chez Opti Digital, nous effectuons automatiquement une inspection quotidienne du fichier ads.txt sur les sites des éditeurs. Nous pouvons alors identifier les sites avec des lignes manquantes ou sans fichier ads.txt, et contacter directement l’éditeur pour s’assurer que son site est optimisé pour attirer le plus grand volume de demande.

II – Un fichier Ads.txt impeccable ? Vérifiez le fichier sellers.json de vos partenaires !

a) Qu’est-ce que le fichier sellers.json ?

Sellers.json est un fichier qui fonctionne en parallèle avec l’initiative Ads.txt. Alors qu’Ads.txt est une initiative axée sur les éditeurs qui prouve la légitimité des vendeurs, sellers.json est destiné aux SSP et fournit des informations cruciales sur les intermédiaires ou les revendeurs impliqués dans le processus de transaction publicitaire. Ce fichier permet aux acheteurs de comprendre qui vend l’inventaire publicitaire et quelles sont les entités impliquées dans la supply chain, ainsi que dans les transactions financières.

Ce fichier est généralement hébergé sur le domaine du partenaire AdTech, travaillant en tant que SSP ou en tant qu’intermédiaire, qui assure la médiation entre les SSP et les éditeurs. Le fichier Sellers.json contient des informations précieuses sur chaque entité de la chaîne d’approvisionnement, telles que son nom, nom de domaine et le type de relation entretenue avec l’éditeur ou le vendeur. Ces informations permettent aux acheteurs de prendre des décisions informées lors de l’achat d’un inventaire publicitaire, puisqu’ils peuvent vérifier la légitimité des vendeurs et leur relation avec les éditeurs.

b) Quelles informations doivent figurer dans ce fichier ?

Pour que le fichier sellers.json soit correctement configuré, il est essentiel de remplir les champs suivants:

  • Seller_type : éditeur, intermédiaire ou les deux.
  • Seller_id : L’identifiant unique que le SSP doit fournir aux éditeurs pour le fichier ads.txt.
  • Nom : Le nom légal du vendeur ou de l’entité impliquée dans la vente de l’inventaire publicitaire.
  • Domaine : Le nom de domaine de l’entreprise. Il fournit des informations sur la propriété numérique ou la plate-forme utilisée pour vendre l’inventaire publicitaire.

Voici un exemple :

{

 « seller_id » : « p185 »,

 « name » : « Investing.com »,

 « domain » : « investing.com »,

 « seller_type » : « PUBLISHER »,

 « is_confidential » : 0

        }

Travailler avec des éditeurs qui possèdent un fichier ads.txt propre est tout aussi important que de collaborer avec des SSP qui maintiennent un fichier sellers.json. En effet, travailler avec des SSPs qui possèdent un fichier sellers.json permet de prévenir la fraude publicitaire, d’améliorer la transparence et, surtout, de renforcer la brand safety.

Découvrez le nouvel SSP d’Opti Digital : Opti Engage, un adaptateur Prebid et format publicitaire d’avant-garde, qui se classe n°1 sur Prebid.

Fichiers ads.txt et sellers.json
Source: SmartHub

En conclusion, les fichiers Ads.txt et sellers.json sont des outils puissants pour promouvoir la transparence dans le secteur de la publicité programmatique.

Ads.txt permet aux éditeurs de déclarer les vendeurs autorisés à vendre leur inventaire publicitaire, ce qui permet aux annonceurs d’investir en toute confiance dans des placements légitimes. Le fichier sellers.json, quant à lui, complète l’initiative Ads.txt en fournissant des informations précieuses sur les intermédiaires ou les revendeurs impliqués dans la supply chain. Grâce à ces fichiers, les éditeurs et les acheteurs peuvent prendre des décisions éclairées, limiter les risques et établir des relations plus solides basées sur la confiance.

Pour en savoir plus sur Opti Digital et les technologies publicitaires que nous proposons aux éditeurs, contactez notre équipe d’experts.

Innover pour un écosystème publicitaire ouvert

Alors que l’année est marquée par une crise économique majeure, c’est un tout autre problème qui a secoué l’industrie publicitaire au début du mois de janvier. Mardi 24 janvier 2023, la Division Antitrust du Département de la Justice des États-Unis a déposé une plainte contre Google pour pratiques anticoncurrentielles. Le géant américain est accusé de comportement anticoncurrentiel et d’exclusion consistant à neutraliser ou à éliminer des concurrents dans le domaine de l’AdTech par le biais d’acquisitions ou même d’accords avec d’autres sociétés. Cela obligerait les éditeurs et les annonceurs à utiliser ses produits et à accepter les politiques qu’ils incluent.

Afin de rendre le marché plus équitable et d’établir un écosystème publicitaire ouvert, l’ensemble du secteur de la publicité doit adopter les mêmes règles en développant et en utilisant des solutions ne dépendant pas uniquement d’un groupe réduit d’acteurs. Non seulement cela créera un marché plus éthique, mais cela profitera également aux annonceurs, aux agences, aux éditeurs, aux groupes de médias et régies publicitaires en augmentant la concurrence et, par conséquent, les revenus en ligne.

C’est pourquoi, chez Opti Digital, nous avons développé trois produits allant dans ce sens :

1. Opti All-in-One Prebid Wrapper

Un wrapper header bidding est une technologie clé utilisée dans la publicité programmatique. Il permet aux éditeurs de proposer simultanément leur inventaire publicitaire à plusieurs partenaires de demande, augmentant ainsi la concurrence et stimulant leurs revenus publicitaires.

Aujourd’hui, les éditeurs peuvent soit vendre leur inventaire à la demande programmatique de Google, soit se connecter à d’autres SSPs, via un wrapper header bidding. L’utilisation d’un wrapper HB présente deux avantages majeurs :

  • Elle accroît la concurrence en permettant à plusieurs partenaires de demande de faire simultanément une offre dans une enchère. Dans ce cas, si Google veut remporter l’enchère, il devra proposer un prix plus élevé que l’offre gagnante du wrapper HB.
  • Elle permet aux éditeurs de mieux contrôler leur inventaire et de ne pas dépendre uniquement des algorithmes de Google. L’utilisation d’un wrapper HB est également plus sûre, puisque la diversification des sources de revenus minimise le risque de pertes des revenus en raison d’une évolution du marché ou des changements de politique de Google.

Chez Opti Digital, nous avons choisi de travailler avec le wrapper Prebid, puisqu’il s’agit d’une technologie libre et gratuite adoptée par un grand nombre d’éditeurs dans le monde. Totalement transparente, cette technologie a l’avantage de ne pas être source de conflits d’intérêts.

Et parce que nous avons un contrôle total sur cette technologie, et que la transparence est l’une de nos valeurs fondamentales, tous les résultats publicitaires obtenus par nos éditeurs sont disponibles dans leur propre plateforme de suivi des revenus. Chaque éditeur est alors en mesure d’estimer la valeur incrémentale de chaque SSP ainsi que celle de Google.

2. Opti Engage: Le format publicitaire qui apporte de la valeur à l’ensemble de l’écosystème

La deuxième offre d’Opti Digital pour favoriser un écosystème publicitaire plus équitable est le format publicitaire Opti Engage.

La force de ce nouveau produit réside dans sa capacité à combiner efficacement la demande provenant de différentes sources en une seule expérience publicitaire engageante. Les utilisateurs bénéficient d’une plus grande interactivité ainsi que d’un design intelligent et ludique. Cela permet aux marques de bénéficier d’une plus grande notoriété, d’une meilleure visibilité et de taux de clics plus élevés. ​​De manière plus générale, les partenaires de demande, les SSPs et les DSPs, bénéficient d’un accès plus qualitatif à l’inventaire. En conséquence, les éditeurs bénéficient de CPMs élevés et reçoivent un revenu plus important à la fin du mois.

Avec Opti Engage, Prebid dans son ensemble devient plus rentable pour les éditeurs et génère une part plus importante des revenus. Ce format publicitaire encourage également Google AdX à être plus généreux et à surenchérir au lieu de payer le prix le plus bas possible.

Opti Engage Demo

3. Opti Yield: La solution basée sur l’IA qui envoie des prix planchers à tous les partenaires en amont

Enfin, comment parler de l’ouverture de l’écosystème sans évoquer le sujet de la transparence ?

Opti Yield, une technologie de prix planchers dynamiques basée sur l’IA. Cette solution permet d’envoyer le prix de vente minimum à tous les partenaires et pas uniquement à Google. Opti Yield équilibre donc les enchères, à la différence des UPR de Google Ad Manager qui disqualifient post-bid les offres inférieures au prix plancher défini. 

Diagramme opérationnel d'Opti Yield
Diagramme opérationnel d’Opti Yield

De plus, cette solution permet de contrer le Bid Shading, pratique qui vise à réduire les CPMs en identifiant le prix le plus bas auquel les SSPs peuvent obtenir des impressions. Selon les chiffres publiés par The Trade Desk, Rubicon Project et PubMatic, les acheteurs économisent environ 20 % grâce au bid shading, ce qui se traduit par une potentielle diminution des revenus pour les éditeurs.

Les prix planchers dynamiques empêchent la dévaluation des inventaires en appliquant des prix planchers qui reflètent la valeur réelle de l’audience. Les éditeurs qui utilisent Opti Yield observent une hausse moyenne de leurs revenus de +20% EBITDA.

En communiquant les prix planchers dynamiques via Prebid et via Amazon, côté buy-side, il n’est plus utile pour les DSP de développer et d’exécuter des algorithmes de bid shading. Tous les partenaires de demande jouent alors selon les mêmes règles.

Regardez notre dernier webinaire sur Opti Yield: AI-Based Dynamic Flooring: Secure a new source of revenue.

Depuis sa création en 2018, Opti Digital a toujours fourni des solutions transparentes aux éditeurs, favorisant un écosystème publicitaire ouvert, et continuera à le faire à l’avenir. En développant toutes nos solutions en interne, nous gardons le contrôle sur l’ensemble du cycle de vie du produit, assurant une transparence totale aux éditeurs tout en permettant une collaboration avec les différents acteurs de la chaîne programmatique tels que les SSPs et les channel partners.

Travaillons ensemble pour un écosystème publicitaire ouvert !

Opti Yield : 1.000.000 de prix planchers calculés chaque jour

Les prix planchers sont un élément important des nouvelles stratégies de tarification pour tous les éditeurs qui cherchent à maximiser leurs profits. Mais comment les entreprises peuvent-elles calculer avec précision et efficacité les bons prix planchers pour défier le marché et protéger la valeur de leur inventaire publicitaire ? C’est là qu’intervient Opti Yield. Cette solution publicitaire a révolutionné la façon dont les entreprises calculent leurs prix plancher en automatisant le processus sans avoir recours à des ressources supplémentaires.

Comment Opti Yield optimise les revenus publicitaires des éditeurs ?

Opti Yield est un optimiseur de rendement publicitaire automatisé dédié aux grandes entreprises de médias en ligne. Cette solution aide les éditeurs à maximiser leurs revenus publicitaires en appliquant des prix planchers dynamiques à leur inventaire programmatique. Cette technologie permet d’appliquer une stratégie challengeante visant à protéger la valeur de l’inventaire publicitaire. En effet, après une phase d’apprentissage, Opti Yield fixe automatiquement des prix planchers pour chaque impression publicitaire en fonction de multiples données, afin de permettre à l’éditeur d’obtenir le meilleur Ad Request eCPM. Une fois la solution opérationnelle, les yield managers n’ont plus qu’à vérifier la croissance de leurs revenus bruts.

1.000.000 de prix planchers calculés chaque jour

Grâce à ses algorithmes sophistiqués et à sa puissance de calcul, Opti Yield calcule chaque jour plus d’un million de prix planchers pour contrer le bid shading et créer une nouvelle source de revenus.

Les algorithmes d’Opti Yield, développés par notre équipe d’experts, déterminent les prix planchers optimaux pour chaque site web, en se basant sur une variété de données : pages, placement, taille de l’annonce, etc.

1.000.000 de prix planchers calculés chaque jour
Évolution du nombre de prix planchers calculés par notre solution chaque jour

Contrairement à de nombreuses solutions sur le marché, cette solution s’adapte aux différents types d’éditeurs, quelle que soit leur taille. En effet, pour les grands éditeurs, ce produit plug and play est facile à intégrer et ne nécessite pas de ressources supplémentaires. Pour les plus petits éditeurs, nous proposons désormais toutes les technologies d’Opti Yield dans notre solution clé en main All-in-One.

+20% d’EBITDA pour les éditeurs

Mise en œuvre sur plus de 300 médias, Opti Yield permet aux éditeurs d’augmenter en moyenne leurs revenus de +20 % EBITDA (Earnings Before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization).

Ce résultat est d’autant plus important puisqu’il n’y a pas de coûts supplémentaires, que ce soit en matière de ressources humaines ou de temps passé à mettre en œuvre et/ou à exploiter cette solution.

La promesse de ce produit est très simple : Branchez Opti Yield sur votre média et regardez vos revenus augmenter en moins de deux semaines !

1.000.000 de prix planchers calculés chaque jour
Résultats d’un éditeur anonyme de la verticale du divertissement

Que ce soit pour le web, l’AMP ou l’app, pour l’affichage, le natif ou la vidéo, Opti Yield est un fournisseur direct d’EBITDA. Cette solution permet aux Chief Revenue Officers et Yield Managers, des groupes d’édition et des maisons de vente, d’augmenter leurs revenus et d’avoir du temps supplémentaire pour se focaliser sur d’autres sources de revenus.

Découvrez notre série de webinaires

Si vous souhaitez en savoir plus sur ce produit, nous vous invitons à découvrir notre série webinaires (en anglais) sur Opti Yield :

Épisode 1 : Introduction to a must-have technology
Épisode 2 : AI-Based Dynamic Flooring: Secure a new source of revenue (case studies)
Épisode 3 : Rendez-vous en septembre !

Les formats publicitaires les plus rentables en 2023

Pour la troisième année consécutive, Opti Digital est de retour avec son article concernant les meilleurs formats et tailles publicitaires à mettre en place en publicité programmatique. Lors de la configuration de votre inventaire publicitaire, via votre adserver, il est essentiel d’attribuer les bonnes tailles à vos blocs publicitaires et d’intégrer les bons formats. En procédant ainsi, vous améliorerez vos performances globales. Voici les tendances à garder à l’œil en 2023 :

Les formats publicitaires les plus efficaces

Formats publicitaires rentables

Afin d’attirer plus d’annonceurs et augmenter votre taux de remplissage, il est intéressant de mettre en place une stratégie multimédias, c’est-à-dire de proposer au sein d’un même espace publicitaire du display, de la vidéo et de la demande native.

Display

Selon le rapport de l’IAB sur les revenus publicitaires internet, le display représentait 30% du marché publicitaire en 2021 (juste derrière le search) pour un total de 56,7 milliards de dollars.

Format phare, le display regroupe une grande partie des investissements publicitaires. Cela tient notamment au fait que ce format est facilement optimisable via des tests a/b. En effet, il est possible de :

  • Mesurer la valeur incrémentale de chaque partenaire et de les brancher et/ou débrancher en fonction des résultats observés
  • Définir des règles basées sur le comportement de navigation (lazy loading, rafraîchissement intelligent des annonces…)
  • Tester les tailles d’annonces et exploiter les plus efficaces

En configurant plusieurs tailles display au sein de vos emplacements publicitaires, vous augmenterez votre taux de remplissage et votre eCPM.

Vidéo

Format publicitaire en pleine expansion, la vidéo bénéficie également de forts CPM. En fonction de vos ressources internes et de votre stratégie, vous pouvez proposer aux annonceurs de la vidéo outstream ou instream :

Vidéo outstream : Aussi appelé « in-read » ou « native », c’est un format publicitaire qui permet d’afficher une publicité, en dehors de tout flux de contenu vidéo . Chez Opti Digital, nous utilisons également le header bidding pour monétiser ce format, en le mettant notamment en concurrence avec les autres formats. La vidéo outstream contribue à la rentabilité publicitaire de nos éditeurs en complément des formats IAB et natifs. Toutefois, en raison d’un faible taux de remplissage, les annonceurs se tournent davantage vers l’instream.

Vidéo instream : En publicité, une vidéo « in-stream » désigne une annonce intégrée avant (pre-roll), pendant (mid-roll) ou après (post-roll) un contenu vidéo diffusé dans un player. Ce format génère plus de revenus que l’outstream, puisqu’il représentait 90% des revenus du marché de la vidéo en 2021, contre 10% pour la vidéo outstream. Cependant, ce format nécessite beaucoup de travail de la part des éditeurs, et des ressources internes et financières importantes, pour produire l’hébergement et la diffusion des contenus vidéo.

Avant de miser sur la vidéo, il est important de noter qu’il existe très peu d’enchères ouvertes pour ce format, lequel souffre beaucoup de la saisonnalité. De plus, si le header bidding vidéo est très répandu aux Etats-Unis,  cela n’est pas encore le cas en Europe. 

Native

Google AdExchange offre de la demande native. D’ailleurs, il est vous est possible de demander à votre gestionnaire de compte la part des revenus provenant de ce format. Selon Outbrain, les consommateurs regardent les annonces natives 53 % de plus que les annonces display.

Les publicités natives ne ressemblent pas à des publicités. Si certaines mentions sont obligatoires pour respecter les règles définies par l’IAB et The Coalition for Better Ads (afin de ne pas tromper l’internaute), ce type de publicité se fond dans le contenu et protège donc votre expérience utilisateur. 

Chez Opti Digital, nous créons des styles natifs uniques correspondant au design de chaque site web. Les possibilités de personnalisation sont nombreuses et incluent notamment : le bouton d’attribution (AD), le fond, la couleur du CTA (call to action)…

Les tailles d’annonces les plus rentables

Meilleures tailles publicitaires

Pour obtenir de bons résultats publicitaires, vous devez tenir compte de la taille des annonces que vous souhaitez proposer. Google fournit sur son site une liste des tailles les plus performantes, une liste qui confirme les résultats observés sur les plus de 200 médias que nous optimisons.

En ce qui concerne les dispositifs mobiles, le format le plus populaire est sans aucun doute le “Large mobile banner” (bannière mobile), une taille non intrusive qui permet aux utilisateurs d’avoir une expérience de lecture agréable en laissant une grande partie du contenu visible. Pour ce dispositif, nous vous conseillons de garder active l’option « expansion de l’espace publicitaire », activée par défaut par Google. Cette fonctionnalité permet aux annonces de s’étendre sur la largeur de l’appareil, tout en préservant les proportions.

Comme c’était le cas en 2022, les formats les plus performants sur desktop sont : le rectangle moyen (300×250), le grand rectangle (336×280), la demi-page (300×600) et le leaderboard (728×90).

Nous vous suggérons également d’intégrer l’interstitiel web. Avec un CTR important et des eCPM élevés, les annonces interstitielles sont un excellent choix pour augmenter vos revenus. Cependant, en raison de leur caractère intrusif, il est important de les utiliser avec prudence et de respecter le capping d’une publicité interstitielle par heure par utilisateur unique. Chez Opti Digital, nous consultons toujours les éditeurs avant d’intégrer ce type d’annonces, afin de nous assurer que cela correspond à leur stratégie média.

Pour aller encore plus loin et maximiser la rentabilité de votre inventaire, nous vous suggérons d’opter pour des publicités adhérentes/sticky.

Lire : Les meilleurs formats publicitaires en 2022

Les publicités interactives émergentes

Selon un rapport publié par Hootsuite en 2021, 42,7 % des utilisateurs dans le monde utilisent chaque mois des outils pour bloquer la publicité en ligne. Parce que ce phénomène est encore très présent aujourd’hui, il est plus que jamais essentiel pour les AdTech et les éditeurs de trouver comment transformer l’expérience publicitaire en offrant aux utilisateurs une expérience plus engageante. Plus les taux de conversion, de visibilité, et de CTR seront élevés, plus la rentabilité sera importante.

Une solution intéressante consiste à impliquer les internautes en rendant l’expérience publicitaire plus engageante. Comment ? En proposant des annonces interactives où l’action d’un internaute va avoir un impact sur les éléments affichés. Les actions possibles sont nombreuses : gratter un élément, faire un puzzle, secouer son téléphone portable, entrer son adresse mail… 

Dans cette logique d’innovation et d’expérience rafraîchissante, nous avons développé chez Opti Digital un tout nouveau format : « Opti Engage ». Basé sur l’expérience des médias sociaux, et regroupant des annonces de type multimédia, ce format offre un design supérieur, permettant de mettre en valeur la marque de l’annonceur. En outre, Opti Engage permet d’agréger davantage de demande, augmentant ainsi les revenus des éditeurs. 

Voici un aperçu de l’expérience proposée :

Vous avez maintenant tous les éléments pour optimiser votre monétisation en 2023 ! Et si vous souhaitez en savoir plus sur notre tout nouveau format publicitaire Opti Engage, contactez-nous.

2022 en quelques moments clés

L’année n’a pas été facile à bien des égards, notamment en raison de l’inflation découlant de la guerre en Ukraine. Cependant, comme toujours, l’équipe d’Opti Digital a travaillé dur pour fournir aux éditeurs des technologies avancées afin d’améliorer leur monétisation. Revenons ensemble sur les faits marquants de 2022 et sur ce que nous vous préparons pour l’année prochaine.

2022 était marquée par…

Le lancement de nos prix planchers dynamiques – Opti Yield

Après des mois de développement, nous avons dévoilé Opti Yield, une solution puissante et agile qui vient répondre aux nombreux besoins des éditeurs.

Propulsée par le Machine Learning, cette innovation se connecte à la stack publicitaire de l’éditeur afin de calculer et d’envoyer automatiquement des centaines de prix planchers à l’ensemble des partenaires impliqués pour maximiser le RPM.

Disponible en tant que plug-in autonome et mis en œuvre sur tous les sites utilisant la solution Opti All-in-One, ce produit permet aux éditeurs daugmenter leurs revenus de 20%.

En apprendre davantage sur Opti Yield

Des rencontres avec des éditeurs, des régies et des groupes média

dmexco presse au futur
1 – Dmexco / 2 – Matinée Éditeurs / 3- La Presse au Futur

Cette année, nous avons participé à 15 événements en Europe, dont beaucoup pour la première fois, tels que : ATS Madrid, Cannes Lions, Dmexco, The Publishing Show… Une opportunité pour échanger sur les défis rencontrés par les éditeurs, qui sont susceptibles de différer d’un pays à l’autre. 

En ce qui concerne nos rendez-vous annuels, nous avons organisé en octobre une nouvelle édition de notre événement “Matinée Éditeurs”, mais cette fois à Paris ! L’objectif était de présenter aux éditeurs une série de conseils pratiques pour optimiser leurs revenus. Nous avons notamment mentionné les technologies suivantes : insertion dynamique des annonces, chargement tardif, rafraîchissement des annonces sous condition de visibilité… tout un ensemble de fonctionnalités puissantes disponibles dans notre solution Opti All-in-One.

Un autre moment fort pour notre équipe a été l’organisation de la 2ème édition de notre défi sportif : l’Opti Digital Green Challenge. Grâce aux 154 participants, nous avons pu parcourir près de 35 000 km (en courant, marchant ou à vélo) et planter 4 500 arbres avec l’association Planète Urgence

En 2022, nous avons également organisé des webinaires pour répondre aux questions des éditeurs en direct et partager le savoir-faire de notre équipe sur divers sujets de monétisation. Rendez-vous en février pour découvrir notre prochain webinaire consacré à Opti Yield !

Nos objectifs pour 2023 :

Si 2022 a été une année chargée, 2023 promet d’être encore plus palpitante avec :

  • Un nouveau format publicitaire, axé sur l’engagement et les données first-party
  • Davantage d’événements en Europe et aux États-Unis
  • Des webinars éducatifs, des livres blancs, des études et des baromètres 
  • De nombreux recrutements pour soutenir notre croissance (marketing, administration, customer success, développeurs full stack…)
  • La sortie de notre Plateforme Analytique V4 encore plus puissante et ergonomique 
  • Et bien plus encore !

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5 conseils pour optimiser la mise en page de vos annonces 

Chez Opti Digital, nous proposons des technologies qui permettent aux éditeurs d’optimiser leur monétisation tout en protégeant au maximum leur UX. 

Sauts de contenu, publicités intrusives, lenteur du chargement du site… Une mauvaise mise en page des annonces provoque un certain nombre de désagréments qui peuvent avoir un impact négatif sur l’expérience utilisateur et sur vos performances publicitaires globales. C’est pourquoi nous vous recommandons d’accorder une attention particulière à la structure de vos annonces, notamment en ce qui concerne le volume (pression publicitaire) et l’emplacement des publicités.

Dans notre dernier webinaire, nous avons partagé nos meilleurs conseils pour une mise en page optimale des annonces. Découvrez-les tous maintenant.

Les 5 étapes clés pour maîtriser la mise en page de vos annonces

1. Insérer ses publicités aux endroits stratégiques

Votre stratégie de placement dépend du système d’enchères en vigueur sur votre site. Ici, nous nous concentrerons sur les placements à privilégier et à éviter dans le cadre d’ enchères ouvertes.

Illustration n°1 : Il est important d’éviter d’avoir des publicités non adhérentes en haut de votre écran mobile. En effet, les internautes ont tendance à « scroller » rapidement jusqu’au contenu désiré, ce qui a pour conséquence de réduire considérablement le taux de visibilité. De la même manière, nous déconseillons de placer des annonces non adhérentes au niveau du pied de page.

Illustration n°2 : Nous privilégions très souvent une intégration en cœur de contenu, puisque c’est là que se concentre l’attention de l’utilisateur.

Lire : Pourquoi faut-il accorder de l’importance aux emplacements publicitaires dans sa stratégie de monétisation ?

Illustration n°3 : Tout comme pour l’insertion en cœur de contenu, placer une annonce à la fin d’un article permet de générer un bon taux de clics.

Illustration N°4 : Utilisées de la bonne manière, les annonces interstitielles offrent des CTR imbattables et des eCPM élevés. Cependant, comme il s’agit d’un format intrusif, il est essentiel d’utiliser le capping configuré par Google (1 interstitiel par heure pour un utilisateur unique) et de permettre à l’internaute de faire disparaître facilement l’annonce. 

2. Personnalisez vos modèles de page

Une erreur à ne pas commettre est d’avoir un modèle unique pour l’ensemble de son site. En effet, il est possible d’adapter votre structure publicitaire et d’améliorer vos performances de monétisation en personnalisant votre mise en page par :

  • Page –  Le comportement de navigation d’un utilisateur varie en fonction du contenu. Préparez donc une mise en page spécifique pour chaque catégorie, qu’il s’agisse de la page d’accueil, d’une page d’article ou encore d’une page produit.
  • Appareil – Sur mobile, une annonce placée au niveau de la ligne de flottaison, après le premier paragraphe, est une bonne option. En effet, c’est là que nous enregistrons les meilleurs taux de clics et de visibilité. En revanche, sur desktop, une position de type billboard (au-dessus de l’image) sera plus adaptée.
  • Utilisateur – Ne considérez pas tous vos utilisateurs de la même façon et récompensez leur fidélité ! Chez Opti Digital, nous adaptons la pression publicitaire en fonction du type d’internaute. Par exemple, si celui-ci est connecté, nous lui proposerons moins de publicités.

3. Distribuez vos annonces de manière harmonieuse

Idéalement, nous recommandons à tous les éditeurs d’utiliser une technologie capable de distribuer les annonces de manière harmonieuse au sein du contenu et autres éléments du site. 

Ce type de technologie doit être implémenté de façon à  :

  • Définir une distance, en pixels, entre les annonces, les images, le texte…
  • Adapter le nombre d’annonces en fonction de la longueur de vos articles. Plus l’article est long, plus le nombre de publicités affichées sera important.

4. Adaptez le chargement des éléments

Comme expliqué au début de l’article, l’un des principaux inconvénients d’une mise en page non optimisée est le temps de chargement de votre site. Mais rassurez-vous, il existe des technologies/configurations en mesure d’optimiser votre score LCP (Largest Contentful Paint), indicateur clé des Core Web Vitals.

Le chargement tardif (ou lazy loading) est indispensable pour optimiser vos performances globales. En effet, cette technologie permet à nos éditeurs d’atteindre des taux de visibilité supérieurs à 70% sur les inventaires cross-device, mais aussi d’améliorer considérablement la vitesse de chargement de leur site. Comment ? En affichant progressivement les publicités en fonction de la navigation de l’utilisateur.

Autre option intéressante et qui concerne davantage la configuration de votre header bidding : passer d’une configuration côté client à une configuration côté serveur. Si aujourd’hui tous les partenaires de demande ne sont pas compatibles avec la deuxième configuration, ce choix reste cependant intéressant pour réduire la latence de votre site web et augmenter votre trafic.

Pour en savoir plus, découvrez notre article sur les différences entre le header bidding côté client et le header bidding côté serveur.

5. Créez des styles natifs

Si la localisation des publicités est un élément clé à intégrer dans votre stratégie, il est également intéressant de s’intéresser à la manière dont celles-ci sont affichées.

Pour augmenter le taux de clics et améliorer l’aspect général de leur site, nous recommandons aux éditeurs de créer des styles natifs comme dans l’exemple ci-dessous :

Page d’accueil du site français Futura (version dark mode)

Exemple de création d’un style natif

Sur la deuxième image, nous pouvons voir que nous avons intégré les éléments du design de Futura, à la publicité de l’annonceur. Les options de personnalisation sont multiples et concernent notamment le bouton d’attribution (AD), le titre, le fond, le corps du texte, la couleur du CTA (call to action)…

En plus d’une présentation agréable, la création de styles natifs permet d’activer la demande native de Google.

Pour regarder le replay du webinaire et accéder aux slides de présentation, merci de bien vouloir remplir le formulaire ci-dessous (contenus en anglais) :

Vous souhaitez approfondir le sujet avec un membre de notre équipe ? Contactez-nous

15 astuces pour faire grimper en flèche vos revenus de Q4 !

S’il est difficile de prévoir les budgets publicitaires pour le quatrième trimestre de 2022, compte tenu de la situation macroéconomique actuelle, un événement exceptionnel est susceptible d’impacter fortement votre monétisation : la Coupe du Monde de Football, qui a lieu pour la première fois de son histoire à cette période. Dans un webinaire organisé début octobre, nous avons présenté aux éditeurs 15 recommandations essentielles pour tirer le meilleur parti de cette période et maximiser leurs revenus. Voici ce qu’il faut en retenir :

Répartition des revenus publicitaires par trimestre
Aperçu de la répartition des revenus publicitaires d’éditeurs en enchères ouvertes par trimestre et vertical en 2021
Source: Plateforme Analytique d’Opti Digital

1. Assurez-vous d’envoyer des chaînes de consentement valides

La législation relative à l’exploitation des données varie en fonction de votre zone géographique. En Europe, les éditeurs doivent se conformer au règlement général sur la protection des données (RGPD), tandis qu’en Californie, ils sont soumis à la loi californienne sur la protection de la vie privée des consommateurs (CCPA).

2. Mettez à jour votre fichier Ads.txt

Si vous ne l’avez pas encore fait, ajoutez un fichier ads.txt à la racine de votre site et rendez-le public. Assurez-vous ensuite que tous les partenaires vendeurs avec lesquels vous travaillez figurent sur ce fichier pour qu’ils soient tous autorisés à commercialiser vos inventaires publicitaires. 

3. Adaptez votre pression publicitaire

Si vous êtes tenté d’augmenter le nombre d’emplacements publicitaires sur votre site, réfléchissez avant d’agir ! Plutôt que de transformer votre site en sapin de Noël, et nuire à l’expérience utilisateur sur votre site, trouver l’équilibre entre pression publicitaire et UX grâce à une répartition harmonieuse des annonces. Cette optimisation vous permettra également un meilleur référencement Google. Comment ? En utilisant une technologie de placement automatique des publicités. Cette technologie présente un autre avantage : elle identifie tous les emplacements potentiels, même dans des contenus de longueurs variables, et permet de ne rater aucune opportunité d’affichage.

4. Utilisez le rafraîchissement des publicités sous condition de visibilité 

Sans aucun doute un incontournable ! La fonctionnalité de refresh (disponible dans notre solution All-in-One), permet d’actualiser une publicité dans un même emplacement, sans actualiser toute la page. Cet outil permet donc d’afficher plus d’annonces sans pour autant augmenter votre pression publicitaire. Attention néanmoins à ne pas en abuser, un refresh trop rapide peut affecter le taux de clic et à moyen terme, l’eCPM et le taux de remplissage. 

5. Proposez plusieurs tailles et formats d’annonces 

En configurant ainsi chaque emplacement publicitaire, vous répondez aux critères de davantage d’annonceurs et recevez un plus grand nombre d’offres. Vous maximisez ainsi vos chances de recevoir une enchère à un CPM plus élevé et votre taux de remplissage.

6. Utilisez le chargement tardif

Près de 70% des revenus générés par les éditeurs d’Opti Digital proviennent d’une audience mobile. Il est donc crucial que votre configuration soit adaptée à ce format. Grâce au chargement tardif, la publicité ne s’affiche que lorsque l’utilisateur est à proximité de l’annonce. Cela a deux conséquences positives : une amélioration de votre UX grâce à un temps de chargement optimisé (l’appel à l’ad server se fera uniquement si l’internaute scroll), et une amélioration de votre taux de visibilité global. 

7. Optimisez la compétition des enchères au premier prix

L’utilisation du Header Bidding permet de challenger les partenaires de demande en proposant simultanément un inventaire à plusieurs SSPs. Attention cependant à ne pas brancher trop de places de marché côté client via Prebid.JS, au risque de ralentir les performances de votre site. Préférez une connexion server-side autant que possible. 

8. Instaurez au minimum des prix plancher défensifs au minimum (ou optez pour notre conseil n°12)

Pour empêcher les annonceurs de piètre qualité de diffuser des annonces sur votre site, fixez un prix plancher relativement faible sur l’ensemble de vos inventaires. Cela permettra aux seuls annonceurs en capacité de payer un peu plus cher pour votre audience d’accéder à vos enchères. Cela limitera les annonces “cheap” et augmentera la compétition.

9. Affichez vos performances

Communiquer vos résultats (visites mensuelles, taux de visibilité…) permet aux annonceurs de voir si votre site répond à leur liste de critères. Nous vous conseillons d’afficher vos performances, via un média kit téléchargeable sur votre site, et sur votre profil DV360, disponible dans Google Ad Manager > Sales > Deal Settings.

10. Protégez les marques annonceurs

Les annonceurs ne souhaitent pas voir leur annonce affichée à côté d’un contenu jugé inapproprié car cela peut nuire à leur image de marque. Supprimez donc les balises publicitaires de votre Ad Server des pages au contenu sensible, conformément aux directives de votre adserver. Inversement, protégez votre propre réputation pour améliorer votre marque média : si vous ne souhaitez pas que certaines publicités apparaissent sur votre site, bannissez les catégories ou les annonceurs indésirables de votre adserver et des SSP connectés à votre inventaire.

11. Optimisez votre taux de visibilité

Pour améliorer ce KPI, Opti Digital recommande aux éditeurs de s’appuyer sur une combinaison de 3 technologies : le placement automatique des annonces, le chargement tardif (appliqué de manière adaptée selon l’emplacement) et le rafraîchissement sous condition de visibilité. À ces trois technologies, ajoutez également des formats adhérents (anchor ads ou sticky). Ces 4 bonnes pratiques permettent aux éditeurs qui utilisent la solution All-in-One d’Opti Digital d’atteindre un taux de visibilité moyen de 70%.

12. Retrouvez la valeur réelle votre inventaire

La définition et l’application manuelle des prix plancher exigent un temps considérable côté éditeur : par média, par page, par emplacement, selon la saisonnalité… En parallèle, les technologies de bid shading utilisées par les outils d’achat programmatique sont particulièrement efficaces pour identifier le chemin d’accès à votre audience le moins cher possible, ce qui fait baisser les CPMs. C’est pourquoi Opti Digital a développé un module de prix planchers dynamiques : Opti Yield calcule automatiquement le prix plancher idéal pour maximiser le revenu pour 1000 opportunités d’affichages.

13. Monétisez votre inventaire non consenti

Avec ou sans cookies, il vous est possible de maximiser vos revenus publicitaires tout en respectant le consentement des utilisateurs. En effet, lorsque l’internaute refuse l’exploitation de ses données personnelles ou ne se prononce pas, Opti Digital fait appel à des solutions de monétisation alternatives et respectueuses du RGPD : Google Limited Ads et Opti Digital Ad Server alias ODAS.

14. Intégrez des formats publicitaires impactants

Nous recommandons aux éditeurs d’intégrer des formats aux CPMs élevés comme les formats sticky et les interstitiels. Ce dernier format pouvant être quelque peu intrusif, il est essentiel de l’utiliser avec précaution, en ajustant notamment le capping et en respectant les règles définies par la Coalition for Better Ads.

15. Passez à la vente aux enchères côté serveur

De nombreux éditeurs utilisent encore aujourd’hui une mécanique d’enchère « client-side », notamment via le wrapper prebid.js. Cependant, cette technologie peut ralentir le chargement des pages et des annonces si de nombreux vendeurs y sont connectés, ce qui a un effet négatif sur l’UX et le taux de visibilité. C’est pourquoi, nous recommandons aux éditeurs d’opter pour une mécanique d’enchères “server-side”. D’ailleurs, un article arrive très bientôt sur le sujet, ainsi qu’une belle innovation 👀

Pour regarder le replay du webinaire et accéder aux slides de présentation, merci de bien vouloir remplir le formulaire ci-dessous (contenus en anglais) :

Une question, un doute ? Notre équipe d’experts est là pour vous aider. N’hésitez pas à nous contacter.

Comment intégrer la vidéo pour une stratégie display optimale ?

Aujourd’hui, de nombreux formats display sont disponibles en achat programmatique parmi lesquels le format vidéo.

Dans cet extrait de notre livre blanc « Comment intégrer la vidéo pour une stratégie display optimale ? », nous vous présentons le marché publicitaire vidéo, avant d’aborder brièvement les avantages de l’instream. Pour optimiser votre stratégie display, téléchargez notre livre blanc.

Comprendre le marché publicitaire de la vidéo

a. Le poids de la vidéo au sein du display

Selon une étude réalisée par le cabinet Oliver Wyman, et mandatée par le Syndicat des Régies Internet (SRI), le display a connu un rebond de 21% entre le 1er semestre 2021 et le 1er semestre 2022. Il représente aujourd’hui 19% du marché de la publicité digitale, derrière le search et le social.

Avec une croissance de 26% par rapport à l’année dernière, le format vidéo représente la moitié des recettes publicitaires digitales, au sein du Display et s’inscrit comme un format phare. En effet, les CPMs sont souvent bien supérieurs à ceux du display classique.

b. Un mode d’achat qui évolue

Si l’achat programmatique a d’abord été développé pour les formats display « classiques », il a ensuite été élargi aux formats vidéo. Au premier semestre 2022, la part du programmatique dans les recettes vidéo représentait 78% des revenus, avec des recettes en hausse de 26%.

Auparavant, les éditeurs monétisaient principalement les inventaires vidéos grâce à un système en cascade, autrement appelé “waterfall”. Ce système représentait cependant une importante perte de revenus pour les éditeurs, puisque le premier partenaire appelé n’était pas forcément celui avec le CPM le plus élevé.

Chez Opti Digital, nous recommandons aux éditeurs de faire appel au Header Bidding pour créer de la compétition entre les différents partenaires, booster les eCPMs et exploiter tout le potentiel du format vidéo. Cependant, il est important de faire la distinction entre la vidéo outstream et la vidéo instream.

Vidéo outstream vs. vidéo instream

a. La vidéo outstream

Pour attirer davantage d’annonceurs et augmenter son taux de remplissage, il est intéressant de proposer plusieurs formats (“media types” en anglais) au sein d’un même emplacement publicitaire comme : du display, du natif, ou encore de la vidéo outstream.

La vidéo outstream, aussi appelée « in-read » ou « native », est un format publicitaire, qui permet d’afficher une publicité, en dehors de tout flux de contenu vidéo, par exemple, entre deux paragraphes d’un article.

L’éditeur peut commercialiser et diffuser des campagnes publicitaires en vidéo outstream. La demande programmatique vidéo outstream ne requiert pas de set-up plus complexe que le display dit “classique”.

Dans la stack d’Opti Digital, l’utilisation de la vidéo outstream engendre d’excellents résultats pour les éditeurs :

✅ La mise en concurrence de la vidéo outstream avec d’autres formats (display IAB, formats natifs…) améliore la compétition et le taux de remplissage.
✅ En règle générale le format vidéo a un CPM plus élevé, ce qui fait monter le RPM moyen.

Pour lire la suite de l’article et optimiser votre stratégie display grâce à la vidéo >> Téléchargez notre livre blanc

6 raisons de déployer les prix planchers dynamiques sur vos inventaires publicitaires

S’adapter aux évolutions du marché afin de rester compétitif et optimiser en permanence l’inventaire publicitaire est le fer de lance des éditeurs. Pour garantir un rendement optimal, la solution Opti Yield d’Opti Digital trouve la tarification idéale pour les médias via une technologie avancée de prix planchers dynamiques. Pourquoi devriez-vous déployer une solution de prix planchers automatisée pour maximiser votre yield ? Réponse dans notre nouvel article.

1 – Améliorer les revenus publicitaires

C’est la raison principale : la quête vers plus de revenus. La mise en œuvre d’une solution de prix planchers automatisée permet d’améliorer les gains publicitaires en adaptant ces derniers selon l’historique des enchères (tendances du marché, saisonnalité, jour, heure…). Mais optimiser les performances publicitaires ne signifie pas qu’il faille viser uniquement de meilleurs eCPMs. Il s’agit plutôt de trouver le prix de base qui garantit le meilleur RPM (le revenu pour 1000 opportunités d’impressions), car des prix minimums élevés augmentent certes l’eCPM mais engendrent également des invendus plus élevés. Opter pour une solution dynamique, c’est maximiser les revenus de vos médias.

2 – Faire des économies de temps et de ressources

Les prix planchers dynamiques font gagner un temps précieux et vous font économiser des ressources humaines en interne. Aucune intervention manuelle n’est attendue côté éditeurs. Cette technologie plug & play se connecte à la stack publicitaire existante via un module complémentaire et optimise automatiquement les enchères. Agile et flexible, elle peut rapidement être déployée et fonctionne quelle que soit la devise. Une fois mise en place, cette technologie est gérée via une plateforme en ligne. Vous gagnez ainsi plus de temps pour vous concentrer sur la création de contenu, l’engagement de vos audiences et votre SEO.

Lire : Tout savoir sur les intentions de recherche en SEO

3 – Mieux gérer le risque

Les avantages des prix planchers dynamiques en matière de gestion de risque sont considérables. Ils valorisent l’ensemble des inventaires de manière personnalisée et boostent les impressions publicitaires, même les impressions généralement de faible valeur. D’une part, cela évite d’appliquer des prix trop élevés sur des impressions de faible valeur, et donc minimise le risque d’invendus. D’autre part, cela pousse les acheteurs à payer des prix plus élevés sur les inventaires très recherchés, réduisant ainsi le coût potentiel lié à la non-exploitation de cette opportunité.

4 – Faire face à la saisonnalité

Dans le secteur complexe de la publicité digitale, nombreux sont les défis auxquels vous devez faire face parmi lesquels la saisonnalité. La période estivale et le premier mois de l’année sont généralement synonymes de baisse des eCPMs et de mauvaises performances publicitaires globales car la demande annonceur est plus limitée. Une particularité des prix planchers dynamiques est qu’ils s’adaptent à la saisonnalité, ce qui permet de compenser cette baisse de la demande et de prévoir les futures variations de CPMs et donc de remplissage et de revenus. 

Lire : Pourquoi vos revenus publicitaires baissent-ils chaque année en janvier, juillet et août ?

5 – Proposer une UX de meilleure qualité

Les prix planchers dynamiques optimisent automatiquement les inventaires publicitaires en fonction des enchères proposées. En effet, les annonceurs sont stimulés à payer un prix plus élevé. Les meilleurs enchérisseurs sont souvent les grandes marques connues des internautes qui dépensent des budgets conséquents. Cela permet d’apporter donc plus de valeur au visiteur avec des créatives plus travaillées, et réduit l’accès aux inventaires aux annonceurs de la “long tail” sont souvent moins connus qui pourraient affecter l’expérience utilisateur.  

En d’autres termes, elle active un cercle vertueux, profitable autant pour l’éditeur que pour le visiteur de son média : meilleure expérience utilisateur, hausse de la fidélité des visiteurs, augmentation des revenus. 

D’autre part, la gestion du Yield de manière automatique permet de générer plus de chiffre d’affaires sans ajouter de pression publicitaire. C’est même souvent le phénomène inverse qui se produit avec une augmentation des invendus et donc une densité publicitaire plus faible.

6 – Calculer le prix juste pour un inventaire

Introduit il y a quelques années sur le marché du programmatique côté buy-side, le Bid Shading est une technique dont l’objectif est de faire baisser les CPMs en cherchant à découvrir le prix le plus faible à partir duquel les SSPs peuvent remporter des enchères. Les places de marché et les enchérisseurs n’hésitent pas à allouer une partie importante (de l’ordre de 20%) de leur budget d’achat à la recherche des prix minimums afin de maximiser leurs marges. 

Côté éditeurs, en revanche, le bid shading tend ainsi à réduire les bénéfices et les prix planchers imposés dynamiquement permettent de regagner la valeur perdue en poussant les acheteurs à augmenter leurs prix. 

Les prix planchers dynamiques évitent ainsi une dépréciation de la valeur des inventaires. Cette technologie propose des prix reflétant la valeur réelle des inventaires, ce qui empêche les annonceurs d’enchérir en dessous du prix fixé. 

Plus de revenus, économie de temps et de ressources, meilleure UX… Nombreux sont les avantages de la mise en place d’une solution automatisée pour optimiser votre Yield. Notre solution Opti Yield offre d’excellents résultats chez nos clients et verra bientôt le jour en en tant que solution indépendante, si vous souhaitez la tester en avant-première, inscrivez-vous dès maintenant à notre liste d’attente

Comment les prix planchers dynamiques permettent-ils aux éditeurs d’augmenter leurs revenus jusqu’à 40 % ?

La fixation dynamique des prix est l’un des sujets les plus en vogue de la publicité programmatique. Parallèlement au lancement de la nouvelle option de tarification de Google, intitulée « Optimized Floor Prices », nous avons inauguré notre tout nouveau produit : Opti Yield, dont l’innovation phare est une technologie de prix planchers dynamiques optimisée.

Mais pourquoi choisir une solution de prix planchers dynamiques, et en quoi l’offre d’Opti Yield se démarque-t-elle sur le marché ?

Adapter les prix planchers aux facteurs environnants

La technologie de Prix Planchers Dynamiques d’Opti Digital est un processus de vente qui consiste à fixer un prix minimum pour l’inventaire, puis à l’ajuster automatiquement en fonction de facteurs déterminés. Contrairement aux prix planchers statiques, cette technologie intelligente combine plusieurs atouts.

Premièrement, elle prend en compte les données historiques des offres des partenaires de demande et ajuste automatiquement les prix planchers, jour après jour, heure par heure. En mettant en place des prix planchers dynamiques, les éditeurs s’assurent que les SSPs proposent une enchère minimum adaptée et basée sur les offres précédentes. 

Plus encore que l’historique des enchères, cette technologie ajuste aussi le prix des inventaires d’un éditeur en fonction du type d’inventaire : pages, placement, taille de l’annonce… Par exemple, les annonces in-read sont de grande qualité et ont généralement un taux de visibilité de 70 %. Notre algorithme ajustera donc le prix plancher en fonction de cette information. L’historique de navigation de l’utilisateur est également un élément qui alimente notre technologie : Plus il y a de cookies sur un navigateur, meilleures sont les capacités de ciblage pour l’acheteur qui paiera donc plus cher pour une cible utilisateur hautement qualifiée.

Bien que ces ajustements puissent aussi être effectués manuellement, l’utilisation d’une technologie basée sur le machine learning permet non seulement de gagner un temps précieux, mais aussi d’éviter les erreurs humaines dans l’analyse des données ou un manque de réactivité en cas de changement soudain des conditions qui viennent d’être citées.

Chercher la transparence pour défier la concurrence

Aujourd’hui, peu d’entreprises proposant cette technologie sont capables de gérer un tel algorithme et de le propulser vers les SSPs via Prebid et Google Ad Manager. Cependant, le fait de ne pas communiquer le prix plancher à tous les acteurs représente une réelle perte de revenus pour les éditeurs. C’est pourquoi chez Opti Digital, nous avons choisi d’offrir une technologie holistique qui communique les prix planchers à toutes les places de marchés connectés.

Pour mieux comprendre ce que cela signifie en termes de rentabilité, jetons un coup d’œil aux deux exemples suivants :

Exemple 1 –  Avec les prix planchers généraux utilisés en Header Bidding

Un prix plancher statique de 1,4 € est défini dans Google Ad Manager. Toutefois, lorsque les éditeurs vendent un bloc d’annonces en mode Header Bidding, ils peuvent recevoir une enchère de 1,3 € via Prebid, car le prix plancher défini dans Google Ad Manager n’est pas visible pour tous les SSPs connectés en Header Bidding. L’enchère gagnante de Prebid est ensuite soumise à Google. En parallèle, Google Ad Manager est informé du prix plancher de 1,4 € et peut enchérir en conséquence, très probablement à 1,5 €. Cela pénalise les SSPs connectés dans Prebid et donne l’avantage à Google.

Exemple 2 – Avec les prix planchers dynamiques d’Opti Digital utilisés en Header Bidding

La technologie des prix planchers dynamiques d’Opti Digital fixe un prix plancher selon plusieurs conditions. Lorsque le prix plancher est fixé, les informations sont directement communiquées aux SSP par l’intermédiaire de Prebid. Donc, si le prix plancher est fixé à 1,4 €, il est très probable que les SSPs proposent une enchère minimum de 1,5 €.  Cette enchère gagnante est ensuite soumise à Google Ad Manager, qui, si intéressé, surenchérira à 1,6 €. 

Dans le deuxième exemple, les éditeurs recevront donc une offre à 1,6 € au lieu de 1,5 € en raison du renforcement de la compétition entre Prebid et Google.

Regardez votre Ad Request eCPM augmenter 

Lors de la mise en œuvre de cette technologie sur le site d’un éditeur, Opti Digital effectue systématiquement des tests A/B, sur un trafic plus faible, afin d’identifier l’augmentation moyenne et de la proposer sur un public plus large (jusqu’à 85 %) par la suite.

En janvier 2022, nous avons effectué un test A/B sur une page web d’un éditeur de médias en Europe. Nous avons testé notre solution de prix planchers dynamiques sur 30 % de son trafic, pour voir de quelle manière celle-ci impactait l’Ad Request eCPM net de l’éditeur. Voici les résultats que nous avons observés sur un emplacement spécifique :

Sur le premier graphique, on observe un taux d’invendus moyen de 0,11 % en janvier, pour un Ad Request eCPM (dans le graphique ci-dessus, la ligne violette claire appelée « inventaire eCPM ») de 1,76 €. Sur le deuxième graphique, le taux d’invendus est plus élevé (2,98 % en moyenne), mais l’Ad Request eCPM moyen est également meilleur : 2,05 €, soit une augmentation de près de 17%.

L’optimisation dynamique des prix planchers est une approche générale qui s’adapte aux contraintes complexes du marché et permet de saisir différentes opportunités tout au long de l’année. La technologie Opti Yield proposée par Opti Digital va encore plus loin, car elle permet d’augmenter le niveau de concurrence entre Prebid, Amazon et Google Ad Exchange. Grâce à cette transparence, Opti Digital prépare également la mise en œuvre du futur règlement « Digital Services Act » qui devrait entrer en vigueur en 2024. L’une des principales missions de cette loi est de rendre les plateformes plus transparentes, elles devront, par exemple, expliquer comment fonctionnent leurs algorithmes servant à cibler la publicité.

Pour en savoir plus sur notre solution, n’hésitez pas à contacter l’un de nos experts.