5 conseils pour optimiser la mise en page de vos annonces 

Chez Opti Digital, nous proposons des technologies qui permettent aux éditeurs d’optimiser leur monétisation tout en protégeant au maximum leur UX. 

Sauts de contenu, publicités intrusives, lenteur du chargement du site… Une mauvaise mise en page des annonces provoque un certain nombre de désagréments qui peuvent avoir un impact négatif sur l’expérience utilisateur et sur vos performances publicitaires globales. C’est pourquoi nous vous recommandons d’accorder une attention particulière à la structure de vos annonces, notamment en ce qui concerne le volume (pression publicitaire) et l’emplacement des publicités.

Dans notre dernier webinaire, nous avons partagé nos meilleurs conseils pour une mise en page optimale des annonces. Découvrez-les tous maintenant.

Les 5 étapes clés pour maîtriser la mise en page de vos annonces

1. Insérer ses publicités aux endroits stratégiques

Votre stratégie de placement dépend du système d’enchères en vigueur sur votre site. Ici, nous nous concentrerons sur les placements à privilégier et à éviter dans le cadre d’ enchères ouvertes.

Illustration n°1 : Il est important d’éviter d’avoir des publicités non adhérentes en haut de votre écran mobile. En effet, les internautes ont tendance à « scroller » rapidement jusqu’au contenu désiré, ce qui a pour conséquence de réduire considérablement le taux de visibilité. De la même manière, nous déconseillons de placer des annonces non adhérentes au niveau du pied de page.

Illustration n°2 : Nous privilégions très souvent une intégration en cœur de contenu, puisque c’est là que se concentre l’attention de l’utilisateur.

Lire : Pourquoi faut-il accorder de l’importance aux emplacements publicitaires dans sa stratégie de monétisation ?

Illustration n°3 : Tout comme pour l’insertion en cœur de contenu, placer une annonce à la fin d’un article permet de générer un bon taux de clics.

Illustration N°4 : Utilisées de la bonne manière, les annonces interstitielles offrent des CTR imbattables et des eCPM élevés. Cependant, comme il s’agit d’un format intrusif, il est essentiel d’utiliser le capping configuré par Google (1 interstitiel par heure pour un utilisateur unique) et de permettre à l’internaute de faire disparaître facilement l’annonce. 

2. Personnalisez vos modèles de page

Une erreur à ne pas commettre est d’avoir un modèle unique pour l’ensemble de son site. En effet, il est possible d’adapter votre structure publicitaire et d’améliorer vos performances de monétisation en personnalisant votre mise en page par :

  • Page –  Le comportement de navigation d’un utilisateur varie en fonction du contenu. Préparez donc une mise en page spécifique pour chaque catégorie, qu’il s’agisse de la page d’accueil, d’une page d’article ou encore d’une page produit.
  • Appareil – Sur mobile, une annonce placée au niveau de la ligne de flottaison, après le premier paragraphe, est une bonne option. En effet, c’est là que nous enregistrons les meilleurs taux de clics et de visibilité. En revanche, sur desktop, une position de type billboard (au-dessus de l’image) sera plus adaptée.
  • Utilisateur – Ne considérez pas tous vos utilisateurs de la même façon et récompensez leur fidélité ! Chez Opti Digital, nous adaptons la pression publicitaire en fonction du type d’internaute. Par exemple, si celui-ci est connecté, nous lui proposerons moins de publicités.

3. Distribuez vos annonces de manière harmonieuse

Idéalement, nous recommandons à tous les éditeurs d’utiliser une technologie capable de distribuer les annonces de manière harmonieuse au sein du contenu et autres éléments du site. 

Ce type de technologie doit être implémenté de façon à  :

  • Définir une distance, en pixels, entre les annonces, les images, le texte…
  • Adapter le nombre d’annonces en fonction de la longueur de vos articles. Plus l’article est long, plus le nombre de publicités affichées sera important.

4. Adaptez le chargement des éléments

Comme expliqué au début de l’article, l’un des principaux inconvénients d’une mise en page non optimisée est le temps de chargement de votre site. Mais rassurez-vous, il existe des technologies/configurations en mesure d’optimiser votre score LCP (Largest Contentful Paint), indicateur clé des Core Web Vitals.

Le chargement tardif (ou lazy loading) est indispensable pour optimiser vos performances globales. En effet, cette technologie permet à nos éditeurs d’atteindre des taux de visibilité supérieurs à 70% sur les inventaires cross-device, mais aussi d’améliorer considérablement la vitesse de chargement de leur site. Comment ? En affichant progressivement les publicités en fonction de la navigation de l’utilisateur.

Autre option intéressante et qui concerne davantage la configuration de votre header bidding : passer d’une configuration côté client à une configuration côté serveur. Si aujourd’hui tous les partenaires de demande ne sont pas compatibles avec la deuxième configuration, ce choix reste cependant intéressant pour réduire la latence de votre site web et augmenter votre trafic.

Pour en savoir plus, découvrez notre article sur les différences entre le header bidding côté client et le header bidding côté serveur.

5. Créez des styles natifs

Si la localisation des publicités est un élément clé à intégrer dans votre stratégie, il est également intéressant de s’intéresser à la manière dont celles-ci sont affichées.

Pour augmenter le taux de clics et améliorer l’aspect général de leur site, nous recommandons aux éditeurs de créer des styles natifs comme dans l’exemple ci-dessous :

Page d’accueil du site français Futura (version dark mode)

Exemple de création d’un style natif

Sur la deuxième image, nous pouvons voir que nous avons intégré les éléments du design de Futura, à la publicité de l’annonceur. Les options de personnalisation sont multiples et concernent notamment le bouton d’attribution (AD), le titre, le fond, le corps du texte, la couleur du CTA (call to action)…

En plus d’une présentation agréable, la création de styles natifs permet d’activer la demande native de Google.

Pour regarder le replay du webinaire et accéder aux slides de présentation, merci de bien vouloir remplir le formulaire ci-dessous (contenus en anglais) :

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Comprendre les fondamentaux du header bidding côté client vs côté serveur

Le header bidding est devenu au fil des ans une technologie programmatique de référence, dans la mesure où il permet d’améliorer les revenus publicitaires par rapport aux méthodes traditionnelles de yield management et les systèmes du type passback (ex: cascade). Comprendre l’ensemble du processus qui se cache derrière la technologie de header bidding est essentiel pour optimiser votre chiffre d’affaires. Dans cet article, nous allons donc vous présenter les différences entre une configuration côté client et une configuration côté serveur.

Qu’est-ce qu’un wrapper de header bidding ?

Avant d’explorer les avantages et les inconvénients du header bidding côté client et côté serveur, il y a une notion qui doit être comprise en premier lieu : la notion de wrapper, un indispensable pour implémenter et opérer des enchères sur votre site.

Un wrapper de header bidding est un conteneur ou un cadre qui aide les éditeurs à rassembler les offres de plusieurs partenaires de demande en simultané, selon un ensemble de règles. Cette technologie contrôle et optimise le processus d’enchères dans l’objectif de collecter l’offre la plus élevée pour chaque requête publicitaire. 

Chez Opti Digital, nous avons choisi de travailler avec le wrapper Prebid. Pourquoi ? Car cette solution gratuite et open source a été adoptée par la grande majorité des éditeurs du monde entier et rassemble la plus importante communauté de développeurs, assurant ainsi l’évolution constante de la technologie.

Prebid peut être mis en œuvre de deux manières :  

  • Prebid JavaScript (JS) : côté client.
  • Prebid server : côté serveur.

Définition du header bidding côté client

​​Dans un système côté client, le tag (Prebid.JS) est placé dans le code source du site Web de l’éditeur et exécuté dans le navigateur Web de l’utilisateur lorsque la page est chargée.

En d’autres termes, lorsque Prebid JS s’exécute, le navigateur de l’internaute appelle les partenaires de demande ( SSPs enchérisseurs) pour participer à l’enchère. Le plus offrant remporte l’enchère et renvoie la valeur du CPM à Prebid JS.

Comme Prebid.JS fonctionne sur un navigateur, la bid request (demande d’enchère en temps réel) est enrichie de cookies fournissant ainsi aux acheteurs des informations pertinentes sur les intérêts de l’utilisateur. Cela permet aux annonceurs de cibler les utilisateurs en fonction de leur historique de navigation récent et donc, atteindre leur public cible à moindre coût. 

Définition du header bidding côté serveur 

Dans un modèle côté serveur, les enchères d’en-tête (header bidding) sont exécutées sur un serveur plutôt que sur le navigateur de l’utilisateur. Au lieu d’envoyer plusieurs requêtes, l’utilisateur envoie une seule bid request au serveur qui appelle de multiples SSP capables de répondre immédiatement. 

Cette méthode présente un avantage considérable sur la vitesse de chargement du site Web, car elle nécessite moins de puissance de traitement de la part du navigateur de l’internaute. Si les pages chargent plus vite, l’expérience utilisateur est également améliorée et l’affichage des publicités optimisé.

Avantages et inconvénients des deux techniques

Header bidding côté clientHeader bidding côté serveur
AvantagesCette configuration améliore la transparence et le contrôle côté éditeurs. En utilisant la technologie open source Prebid JS, vous avez accès à tous les partenaires de demande compatibles.

Les cookies sont directement synchronisés entre les utilisateurs, les vendeurs et les acheteurs, ce qui permet aux annonceurs d’identifier l’utilisateur qui se trouve sur le site de l’éditeur. 
Les éditeurs peuvent ajouter d’autres SSP et régies publicitaires pour participer aux enchères. 

Le header bidding côté serveur unifie les enchères au lieu de gérer et de configurer chaque ad unit séparément.
Il améliore la vitesse de chargement de la page et l’expérience utilisateur.
InconvénientsCe système augmente la latence de la page car il exécute toutes les requêtes publicitaires sur le navigateur de l’utilisateur, ce qui peut dégrader l’UX.

Les navigateurs peuvent limiter le nombre de partenaires de demande qui communiquent simultanément. Cette configuration peut être incompatible avec certains navigateurs qui bloquent les connexions aux pixels externes, ce qui se traduit par des enchères peu performantes.
Il entraîne un manque de transparence, car le processus d’enchères se déroule à l’intérieur du serveur, les éditeurs n’ont aucun contrôle sur ce processus. 

Il entraîne une baisse du taux de matching des cookies. En effet, la plupart des données utilisateur sont filtrées lors de leur transfert vers le serveur, ce qui rend plus difficile l’identification et le ciblage des utilisateurs par les annonceurs.  

Quelle solution les éditeurs doivent-ils privilégier ?

Les deux technologies présentent des avantages et des inconvénients, ce qui fait qu’il est difficile de savoir laquelle est la plus adaptée à votre monétisation publicitaire, à moins que vous ne puissiez tester les deux.

Même si la technologie côté serveur améliore considérablement le référencement, la méthode la plus utilisée aujourd’hui reste le header bidding côté client. Cela s’explique pour quatre raisons:

  1. Parce que les éditeurs préfèrent éviter la complexité technique liée à une implémentation côté serveur : l’infrastructure du serveur, les demandes d’enchères et la gestion de synchronisation des cookies.
  2. En outre, certains SSP peuvent encore utiliser des cookies tiers pour le ciblage et ne sont pas encore compatibles avec le header bidding côté serveur.
  3. Dans la mesure où les cookies tiers sont toujours disponibles dans le navigateur Google Chrome, les éditeurs choisissent de continuer à en bénéficier aussi longtemps que possible.
  4. Enfin, Prebid JS évite tout simplement les frais supplémentaires liés aux serveurs.

Toutefois, il est essentiel de préparer la fin des cookies tiers. Lorsque ces derniers seront supprimés de Chrome, les deuxième et troisième arguments disparaîtront et les éditeurs qui continuent à utiliser le header bidding côté client risquent de perdre de l’audience en raison de la latence, plus ou moins importante, de leurs pages.

Chez Opti Digital, nous avons développé notre premier wrapper Prebid côté serveur en 2019. Depuis sa sortie, et après avoir appréhendé sa complexité, nous avons fait le choix de constamment optimiser les paramètres de cette technologie, pour atteindre aujourd’hui des résultats optimaux. Les coûts du serveur sont mutualisés et contrôlés par notre département IT.

La configuration du serveur Prebid étant délicate, les éditeurs peuvent bénéficier de notre expertise pour anticiper la fin des cookies tiers.

Pour réduire la latence de votre site web et augmenter votre audience, contactez-nous !

15 astuces pour faire grimper en flèche vos revenus de Q4 !

S’il est difficile de prévoir les budgets publicitaires pour le quatrième trimestre de 2022, compte tenu de la situation macroéconomique actuelle, un événement exceptionnel est susceptible d’impacter fortement votre monétisation : la Coupe du Monde de Football, qui a lieu pour la première fois de son histoire à cette période. Dans un webinaire organisé début octobre, nous avons présenté aux éditeurs 15 recommandations essentielles pour tirer le meilleur parti de cette période et maximiser leurs revenus. Voici ce qu’il faut en retenir :

Répartition des revenus publicitaires par trimestre
Aperçu de la répartition des revenus publicitaires d’éditeurs en enchères ouvertes par trimestre et vertical en 2021
Source: Plateforme Analytique d’Opti Digital

1. Assurez-vous d’envoyer des chaînes de consentement valides

La législation relative à l’exploitation des données varie en fonction de votre zone géographique. En Europe, les éditeurs doivent se conformer au règlement général sur la protection des données (RGPD), tandis qu’en Californie, ils sont soumis à la loi californienne sur la protection de la vie privée des consommateurs (CCPA).

2. Mettez à jour votre fichier Ads.txt

Si vous ne l’avez pas encore fait, ajoutez un fichier ads.txt à la racine de votre site et rendez-le public. Assurez-vous ensuite que tous les partenaires vendeurs avec lesquels vous travaillez figurent sur ce fichier pour qu’ils soient tous autorisés à commercialiser vos inventaires publicitaires. 

3. Adaptez votre pression publicitaire

Si vous êtes tenté d’augmenter le nombre d’emplacements publicitaires sur votre site, réfléchissez avant d’agir ! Plutôt que de transformer votre site en sapin de Noël, et nuire à l’expérience utilisateur sur votre site, trouver l’équilibre entre pression publicitaire et UX grâce à une répartition harmonieuse des annonces. Cette optimisation vous permettra également un meilleur référencement Google. Comment ? En utilisant une technologie de placement automatique des publicités. Cette technologie présente un autre avantage : elle identifie tous les emplacements potentiels, même dans des contenus de longueurs variables, et permet de ne rater aucune opportunité d’affichage.

4. Utilisez le rafraîchissement des publicités sous condition de visibilité 

Sans aucun doute un incontournable ! La fonctionnalité de refresh (disponible dans notre solution All-in-One), permet d’actualiser une publicité dans un même emplacement, sans actualiser toute la page. Cet outil permet donc d’afficher plus d’annonces sans pour autant augmenter votre pression publicitaire. Attention néanmoins à ne pas en abuser, un refresh trop rapide peut affecter le taux de clic et à moyen terme, l’eCPM et le taux de remplissage. 

5. Proposez plusieurs tailles et formats d’annonces 

En configurant ainsi chaque emplacement publicitaire, vous répondez aux critères de davantage d’annonceurs et recevez un plus grand nombre d’offres. Vous maximisez ainsi vos chances de recevoir une enchère à un CPM plus élevé et votre taux de remplissage.

6. Utilisez le chargement tardif

Près de 70% des revenus générés par les éditeurs d’Opti Digital proviennent d’une audience mobile. Il est donc crucial que votre configuration soit adaptée à ce format. Grâce au chargement tardif, la publicité ne s’affiche que lorsque l’utilisateur est à proximité de l’annonce. Cela a deux conséquences positives : une amélioration de votre UX grâce à un temps de chargement optimisé (l’appel à l’ad server se fera uniquement si l’internaute scroll), et une amélioration de votre taux de visibilité global. 

7. Optimisez la compétition des enchères au premier prix

L’utilisation du Header Bidding permet de challenger les partenaires de demande en proposant simultanément un inventaire à plusieurs SSPs. Attention cependant à ne pas brancher trop de places de marché côté client via Prebid.JS, au risque de ralentir les performances de votre site. Préférez une connexion server-side autant que possible. 

8. Instaurez au minimum des prix plancher défensifs au minimum (ou optez pour notre conseil n°12)

Pour empêcher les annonceurs de piètre qualité de diffuser des annonces sur votre site, fixez un prix plancher relativement faible sur l’ensemble de vos inventaires. Cela permettra aux seuls annonceurs en capacité de payer un peu plus cher pour votre audience d’accéder à vos enchères. Cela limitera les annonces “cheap” et augmentera la compétition.

9. Affichez vos performances

Communiquer vos résultats (visites mensuelles, taux de visibilité…) permet aux annonceurs de voir si votre site répond à leur liste de critères. Nous vous conseillons d’afficher vos performances, via un média kit téléchargeable sur votre site, et sur votre profil DV360, disponible dans Google Ad Manager > Sales > Deal Settings.

10. Protégez les marques annonceurs

Les annonceurs ne souhaitent pas voir leur annonce affichée à côté d’un contenu jugé inapproprié car cela peut nuire à leur image de marque. Supprimez donc les balises publicitaires de votre Ad Server des pages au contenu sensible, conformément aux directives de votre adserver. Inversement, protégez votre propre réputation pour améliorer votre marque média : si vous ne souhaitez pas que certaines publicités apparaissent sur votre site, bannissez les catégories ou les annonceurs indésirables de votre adserver et des SSP connectés à votre inventaire.

11. Optimisez votre taux de visibilité

Pour améliorer ce KPI, Opti Digital recommande aux éditeurs de s’appuyer sur une combinaison de 3 technologies : le placement automatique des annonces, le chargement tardif (appliqué de manière adaptée selon l’emplacement) et le rafraîchissement sous condition de visibilité. À ces trois technologies, ajoutez également des formats adhérents (anchor ads ou sticky). Ces 4 bonnes pratiques permettent aux éditeurs qui utilisent la solution All-in-One d’Opti Digital d’atteindre un taux de visibilité moyen de 70%.

12. Retrouvez la valeur réelle votre inventaire

La définition et l’application manuelle des prix plancher exigent un temps considérable côté éditeur : par média, par page, par emplacement, selon la saisonnalité… En parallèle, les technologies de bid shading utilisées par les outils d’achat programmatique sont particulièrement efficaces pour identifier le chemin d’accès à votre audience le moins cher possible, ce qui fait baisser les CPMs. C’est pourquoi Opti Digital a développé un module de prix planchers dynamiques : Opti Yield calcule automatiquement le prix plancher idéal pour maximiser le revenu pour 1000 opportunités d’affichages.

13. Monétisez votre inventaire non consenti

Avec ou sans cookies, il vous est possible de maximiser vos revenus publicitaires tout en respectant le consentement des utilisateurs. En effet, lorsque l’internaute refuse l’exploitation de ses données personnelles ou ne se prononce pas, Opti Digital fait appel à des solutions de monétisation alternatives et respectueuses du RGPD : Google Limited Ads et Opti Digital Ad Server alias ODAS.

14. Intégrez des formats publicitaires impactants

Nous recommandons aux éditeurs d’intégrer des formats aux CPMs élevés comme les formats sticky et les interstitiels. Ce dernier format pouvant être quelque peu intrusif, il est essentiel de l’utiliser avec précaution, en ajustant notamment le capping et en respectant les règles définies par la Coalition for Better Ads.

15. Passez à la vente aux enchères côté serveur

De nombreux éditeurs utilisent encore aujourd’hui une mécanique d’enchère « client-side », notamment via le wrapper prebid.js. Cependant, cette technologie peut ralentir le chargement des pages et des annonces si de nombreux vendeurs y sont connectés, ce qui a un effet négatif sur l’UX et le taux de visibilité. C’est pourquoi, nous recommandons aux éditeurs d’opter pour une mécanique d’enchères “server-side”. D’ailleurs, un article arrive très bientôt sur le sujet, ainsi qu’une belle innovation 👀

Pour regarder le replay du webinaire et accéder aux slides de présentation, merci de bien vouloir remplir le formulaire ci-dessous (contenus en anglais) :

Une question, un doute ? Notre équipe d’experts est là pour vous aider. N’hésitez pas à nous contacter.

Pourquoi vos revenus publicitaires baissent-ils chaque année en janvier, juillet et août ?

L’été est arrivé, période la plus redoutée par les éditeurs, au même titre que janvier. La raison ? Une chute des eCPMs et de mauvaises performances publicitaires globales. Cet effet récurrent année après année est commun à l’ensemble des éditeurs. Plusieurs raisons en sont la cause… Découvrez-les dans cet article et apprenez à les contrer en mettant en place quelques bonnes pratiques.

Pourquoi observe-t-on une baisse des performances publicitaires à certaines périodes ?

Chaque année, c’est le même constat. Les statistiques publicitaires de janvier, juillet et août nous font grincer des dents. Voici les principales raisons :

  • Moins d’intentions d’achat et de campagnes publicitaires en début d’année.

Après le quatrième trimestre, les intentions d’achat des utilisateurs diminuent et les sites e-commerce enregistrent moins de visites.

En raison de cette baisse de trafic, la plupart des annonceurs réduisent considérablement leur participation aux enchères. En effet, ils ont tendance à modérer leurs dépenses et à être plus prudents avec leur budget publicitaire au début de l’année, ce qui entraîne une baisse des eCPMs.

  • Pause estivale. 

En juillet et août, les utilisateurs ralentissent leurs navigations sur le Web pour profiter pleinement de leurs vacances estivales. La chute des revenus en été s’explique aussi par le fait que les budgets sont parfois revus en début de semestre. Juillet correspond au démarrage du 2ᵉ semestre où les dépenses sont davantage réparties sur le dernier trimestre. 

D’autres raisons, plus ponctuelles, peuvent expliquer une baisse d’audience et de revenus, telles que :

  • L’inflation. 
  • Le contexte géopolitique (la guerre entre la Russie et l’Ukraine depuis février 2022).
  • Une augmentation des consentements négatifs en 2022 vs. 2021 avec la mise en application du nouveau format de CMP (options “refuser tout” ou “continuer sans accepter” sur le premier écran de la CMP). La comparaison entre ces deux années doit toutefois être prudente. Q2 2021 était une période exceptionnelle de reprise après le confinement.

Comment atténuer cette baisse ? 

Pour pallier cette baisse, plusieurs techniques s’offrent à vous :

  • Adoptez la bonne stratégie de prix planchers

La demande annonceur étant plus forte au quatrième trimestre, nous vous conseillons d’augmenter les prix planchers pour cette même période. En revanche, il est préférable de les réduire en janvier. 

Plutôt que de le faire manuellement, nous recommandons de mettre en place une stratégie automatique. Notre technologie d’optimisation des prix planchers dynamique ajuste les prix planchers en fonction de la saisonnalité et d’un grand nombre de critères calculés grâce à l’IA. Cette stratégie permet de maintenir un bon niveau de revenu pour les éditeurs et offre de la transparence aux SSPs puisque le prix plancher est communiqué en amont des enchères à toutes les places de marché. 

Pour aller plus loin : découvrez Opti Yield, une solution qui optimise de manière dynamique votre tarification publicitaire.

  • Optimisez vos inventaires publicitaires. 

Vous pouvez, notamment, proposer des formats aux eCPMs élevés comme les formats adhérents en pied de page ou au-dessus de la ligne de flottaison (sticky) et l’interstitiel. 

Nous vous recommandons aussi de choisir une solution d’intégration automatique des publicités sur vos pages qui hébergent des contenus longs pour ne pas oublier de monétiser certains inventaires. 

  • Améliorez votre SEO et votre taux de visibilité. 

Optimisez votre site pour qu’il se charge rapidement et qu’il soit bien référencé dans les SERPs en vue de gagner du trafic et donc, des revenus complémentaires. Nous vous conseillons aussi d’améliorer la visibilité des annonces grâce au chargement tardif par exemple, afin d’augmenter la vitesse de chargement de votre site et obtenir un meilleur taux de remplissage. En effet, les annonceurs préfèrent investir dans un inventaire qui présente un taux de visibilité élevé, supérieur à 70%. 

  • Tirez parti des mois les plus performants

Les mois de juin, octobre, novembre et décembre sont ceux où les annonceurs concentrent leurs dépenses publicitaires (hausse du trafic avant les départs en vacances d’été, Black Friday, Thanksgiving aux États-Unis et Noël). C’est pour cela que les recettes publicitaires sont généralement plus élevées lors des 2ᵉ et 4ᵉ trimestres puisque le trafic et l’engagement des utilisateurs augmentent. Maximiser vos revenus sur ces mois peut vous permettre de compenser la baisse de votre chiffre d’affaires en janvier, juillet et août. 

Chez Opti Digital, nous suivons en permanence les performances publicitaires de nos éditeurs via notre tableau de bord et nous vérifions systématiquement que notre setup reste optimal. Nos technologies d’optimisation dynamiques des prix planchers, d’insertion automatique en cœur de contenu ou de rafraichissement intelligent des annonces sont à même de compenser la perte de revenu saisonnière.

Si vous avez des questions sur nos produits et notre accompagnement, contactez-nous 😊

6 tests A/B à lancer pour optimiser votre RPM Page

Mettre en place de nouveaux paramètres publicitaires, maintenir ceux qui fonctionnent et écarter ceux qui, au contraire, freinent la rentabilité… Un travail fastidieux sans les bons moyens mis à disposition. Dans ce secteur qui se complexifie, les éditeurs sont poussés à adopter plus de technologies pour rester compétitifs. Mais comment savoir si ces technologies sont rentables ? Pour répondre à cette question, nous configurons des tests A/B, qui permettent de prendre des décisions de monétisation avec agilité. Zoom sur 6 tests efficaces pour votre RPM Page ; mais d’abord, un peu plus d’explications sur ce principe de tests A/B.

Comment mettons-nous en œuvre les tests A/B ?

Même si cela peut vous paraître compliqué, le principe des tests A/B appliqués à la monétisation est le même que pour les tests A/B plus répandus pour optimiser les tunnels de conversion chez les e-commerçants notamment. Nous lançons 2 configurations différentes en parallèle sur une même période, auprès de deux groupes d’internautes distincts : le groupe de contrôle et le groupe de test. Nous laissons opérer cette configuration pendant un laps de temps, puis, nous analysons les résultats affichés dans notre tableau de bord Éditeurs, notamment le RPM Page. Cet indicateur est le résultat d’un meilleur taux de remplissage, d’une meilleure densité publicitaire (nombre d’impressions par page) et d’un meilleur eCPM par impression

Lire : Quelles données analyser pour maximiser vos gains publicitaires ?

Tests A/B
Source : Extrait de la page Résultats d’A/B Tests du Dashboard Éditeurs de l’un de nos clients.

Nous observons ici une augmentation du RPM Page global de plus de 14% après avoir lancé un test sur le layout d’un média sur la Finance, en février 2022. Nous avons, en effet, mis en place notre module d’insertion d’annonces de manière automatique sur 11% de son trafic via notre groupe de test. Rendez-vous au paragraphe test #3 – Avec vs. sans insertion automatique en cœur de contenu, pour en savoir plus sur les bénéfices de ce test !

Les 6 exemples de tests A/B pour booster vos revenus

Test #1. Avec vs. sans rafraichissement automatique

Bien implémenté, le rafraîchissement automatique (ou Ad Refresh) est bénéfique pour vos revenus. Chez Opti Digital, nous activons le Refresh sur condition de visibilité. C’est-à-dire que nous le mettons en œuvre seulement si l’emplacement publicitaire est affiché sur l’écran actif de l’utilisateur, une fois le laps de temps écoulé. Pour savoir sur quels emplacements il est préférable de déployer du rafraîchissement intelligent, nous vous conseillons d’A/B tester. Par exemple, sur un site de petites annonces, nous avons mis en place de l’in-viewAd Refresh uniquement sur le pavé grand angle et l’emplacement sticky en pied-de-page sur desktop et mobile. Ce test a non seulement permis d’améliorer la visibilité de l’éditeur, mais il a aussi augmenté de 8% son RPM Page. Aujourd’hui, c’est un module que nous déployons systématiquement, tant il est bénéfique pour la monétisation des éditeurs que nous accompagnons.

Test #2. Mesure de la valeur incrémentale d’un partenaire vendeur

Ce n’est pas toujours simple de savoir quel SSP aura une réelle plus-value pour la monétisation de votre média. Plutôt que d’utiliser tous ceux qui se présentent à vous sur le marché, il est parfois préférable de se focaliser sur les plus performants. Pour les reconnaître, nous vous conseillons d’A/B tester pour mesurer leur valeur ajoutée avant de les déployer sur l’ensemble de vos inventaires en vous posant la question suivante : est-ce que ce bidder participe beaucoup aux enchères et augmente mon RPM Page ? 

L’année dernière, nous avons choisi de déployer Triplelift sur un magazine en ligne avec du contenu éditorial après avoir constaté, via un test A/B, que l’ajout de ce partenaire avait généré plus de 19% d’augmentation de RPM Page.

Test #3. Avec vs. sans insertion automatique en cœur de contenu

Un des modules que nous proposons chez Opti Digital consiste à déplacer les annonces là où elles sont susceptibles d’avoir de meilleures performances, notamment en cœur de contenu (articles, forums…). 

Afin d’évaluer l’efficacité de cette fonctionnalité, nous avons lancé plusieurs fois le test en la mettant en place sur 25% du traffic de notre réseau de médias pour remplacer leurs emplacements statiques. Les résultats générés ont été spectaculaires et ont permis d’accroître leur RPM Page de plus de 10%. Exploiter tous les espaces publicitaires de manière automatique nous permet de découvrir des emplacements nouveaux et d’augmenter le nombre de publicités par page. Aujourd’hui, c’est une optimisation que nous déployons systématiquement sur les pages au contenu long de nos éditeurs, sauf s’ils ne le souhaitent pas.

Test #4. Ajustement de la distance en pixels entre deux annonces en cœur de contenu

Toujours au sujet de l’insertion automatique en cœur de contenu, nous vous recommandons d’ajuster l’espacement entre deux annonces pour augmenter la densité de publicités par page et offrir une bonne expérience utilisateur. L’A/B test est un excellent moyen d’identifier l’espacement idéal entre deux publicités en in-read

Nous avons mené l’expérience sur un média d’expertise scientifique l’année dernière et avons constaté une amélioration nette de ses revenus. Nous avons mis en place une distance de 800 px entre 2 publicités au lieu de 1200 px. Son RPM page a tout de suite augmenté de 6%.

Test #5. Suppression ou ajout d’une taille au sein d’un emplacement

Autre recommandation de test A/B : n’hésitez pas à supprimer les tailles qui ne génèrent pas de bons résultats ou qui détériorent votre expérience utilisateur et, à l’inverse, à en ajouter de nouvelles pour savoir si elles apportent de la valeur. 

C’est ce que nous avons testé, sur un média du secteur de la Finance, l’année dernière, en y ajoutant les tailles 300×600 px, 120×600 px et 160×600 px sur les inventaires de la barre latérale du site qui avaient pour hauteur initiale 250 px. Cela a permis d’ouvrir l’accès à davantage d’annonceurs. Grâce à ce test, le RPM Page de l’éditeur a grimpé de 7%.

Test #6. Ajustement des prix planchers en fonction de critères précis

Chez Opti Digital, nous ajustons les prix planchers de nos clients en fonction de la saisonnalité, critère qui peut varier d’un média à l’autre. Il peut être judicieux d’effectuer un test en période à forte demande afin de faire ressortir le meilleur prix plancher qui permettra de stimuler la compétition en Header Bidding entre les SSPs et la demande de Google

Autre idée de test A/B concernant les prix planchers : les adapter en fonction de la taille d’un bloc d’annonce. D’après notre retour d’expérience, définir un prix plancher plus élevé sur les publicités de grandes tailles a un impact positif sur l’UX en plus de booster le RPM page. Cela permet de diffuser des annonces de meilleure qualité pour l’internaute améliorant ainsi sa navigation sur le site Web. Par exemple, nous avons augmenté le prix plancher de 0,10 cts sur le billboard d’un site de petites annonces, ce qui a permis de générer 2% d’augmentation de son RPM Page. 

Teasing : Pour perfectionner l’optimisation des prix planchers chez Opti Digital, nous finalisons le développement d’une innovation d’automatisation. Nos Data Scientists la façonnent avec le machine learning… Nous avons hâte de vous en dire plus. 

L’année dernière, nous avons développé un outil pour mettre en œuvre nos optimisations publicitaires à distance avec plus d’agilité. Notre technologie propriétaire inclut depuis peu, le lancement des tests A/B. Les possibilités de tests sont infinies, n’hésitez pas à nous soumettre vos idées pour votre média : échangeons !

Visibilité publicitaire : votre meilleur allié pour booster vos eCPMs

“Ce qui n’est pas mesuré ne peut pas être amélioré” – Cet adage est on ne peut plus pertinent dans le secteur de la publicité digitale où la donnée en est la pierre angulaire. Bien maîtriser vos métriques, c’est connaître votre valeur. Et, pour améliorer votre rentabilité publicitaire, de nombreuses données rentrent en jeu dont la visibilité. Dans cet article, nous vous aidons à mieux comprendre ce KPI et vous donnons 3 pistes pour l’améliorer.

Qu’est-ce que la visibilité publicitaire ?

Métrique incontournable de la publicité programmatique, elle évalue la visibilité des annonces affichées sur un site auprès de ses utilisateurs. Il s’agit, en d’autres termes, des affichages d’annonces sur l’écran de l’internaute et vus par ce dernier. 

Selon l’IAB (Interactive Advertising Bureau), un affichage est considéré comme visible s’il répond à un certain nombre de critères : 

  • 50% d’une annonce de taille petite à moyenne doivent être vus au moins 1 seconde par l’utilisateur. 
  • 30% d’une publicité de grande taille (plus de 242 000 pixels) doivent être vus dans la fenêtre du navigateur.
  • 50% d’une vidéo instream doivent être visibles de façon ininterrompue pendant minimum 2 secondes. 

Ces données sont consultables dans les rapports Active View fournis par l’Ad Server Google Ad Manager. D’autres solutions validées par le Media Rate Council (MRC) existent pour mesurer ce taux de visibilité à l’instar de Integral Ad Sciences.

Comment la mesure-t-on et pourquoi est-elle essentielle pour améliorer vos performances publicitaires ?

La visibilité publicitaire se mesure de la façon suivante : 

Pour les acheteurs, un bon taux de visibilité permet de vérifier l’efficacité des inventaires et est un critère d’achat incontournable. En effet, cette métrique permet aux annonceurs d’évaluer dans un premier temps la qualité potentielle des inventaires disponibles sur les sites des éditeurs : plus une publicité est vue et meilleurs seront le taux de clics et le taux de conversion. Une fois qu’ils ont analysé le taux de visibilité d’un emplacement, ils peuvent ajuster la valeur de leurs offres publicitaires. Les grandes marques exigent des taux de visibilité supérieurs à 70%. Pour augmenter vos chances de les séduire, pensez à bien mettre en avant votre taux de visibilité sur votre kit média et dans votre profil Google Ad Manager, dans la section Sales > Deals Settings.

Plus votre visibilité est élevée, meilleur est votre taux de remplissage et votre eCPM. Le lien de cause à effet entre la visibilité et les revenus publicitaires est facilement observable. Voici une démonstration dans notre tableau de bord sur un éditeur anonymisé :

Après avoir déplacé un bloc d’annonce le 17 septembre 2021, son taux de visibilité est passé de 62% à presque 70%, et son eCPM a grimpé de 30% dans les 5 jours après la mise en place de cette optimisation. Ce court délai vient du fait que lorsque les acheteurs sélectionnent un certain critère de visibilité, la donnée prise en compte pour filtrer les inventaires éligibles est la moyenne des taux de visibilité des 7 derniers jours.

La visibilité fait donc partie de notre plan d’attaque pour optimiser les revenus des médias au même titre que la mise en page, la compétition, les consentements, le taux de remplissage et l’UX. Chez Opti Digital, les éditeurs que nous accompagnons atteignent une moyenne de 70% de taux de visibilité cross-device après avoir déployé notre solution 360º sur leurs sites, ce qui représente une hausse de plus de 20 points par rapport à leur visibilité moyenne initiale.

3 bonnes pratiques pour optimiser votre taux de visibilité

Il est indispensable de mesurer la visibilité de chaque emplacement sur chaque page afin de faire des ajustements précis et efficaces sur l’agencement de votre site et son temps de chargement.

L’outil de reporting que nous mettons à disposition des éditeurs rend possible cette analyse granulaire. N’hésitez pas à regarder notre rapide tutoriel sur la visibilité publicitaire pour comprendre comment nous mesurons cette donnée.

Pour booster votre taux de visibilité, voici 3 bonnes pratiques à appliquer : 

  1. Optimiser l’emplacement des publicités : placez les annonces au-niveau de la ligne de flottaison, en cœur de contenu et en adhérence en bas de l’écran. Les taux de visibilité sont généralement élevés à ces emplacements. Évitez les emplacements en haut de l’écran non-sticky, car l’internaute descend vite sur la page. Pour identifier les positions à haut potentiel sur votre site et y afficher de la publicité de façon automatique, nous avons développé une technologie d’insertion dynamique des annonces.
  1. Ajuster votre stratégie de chargement des annonces : chargement direct ou différé ? Adaptez l’affichage de vos annonces en fonction de votre contenu et de la navigation de vos utilisateurs. Si le chargement est différé, ajustez la configuration du lazy loading pour qu’il soit plus rapide sur les diaporamas de photos et plus lent sur les contenus rédactionnels plus longs à consommer. D’après notre expérience, nous recommandons d’appliquer du lazy loading sur l’ensemble de vos inventaires publicitaires pour améliorer votre SEO et votre rentabilité. Avec le bon paramétrage, l’augmentation de l’eCPM et du taux de remplissage compensera la perte d’affichages.
  1. Mettre en œuvre du rafraichissement automatique sur condition de visibilité : Mis en place de manière granulaire et contrôlée, le rafraichissement dynamique s’avère être un excellent moyen pour optimiser l’expérience utilisateur, la visibilité et les revenus. Chez Opti Digital, nous contrôlons dans le détail le déclenchement des refreshs : Une fois le laps de temps imparti passé, on active un refresh seulement si l’emplacement publicitaire est visible sur l’écran actif de l’internaute. Les affichages ultérieurs ont généralement une visibilité supérieure au premier. De plus, les refresh multiplient le nombre d’impressions et augmenteront vos revenus.

Pour aller plus loin dans l’optimisation de la visibilité, nous faisons de l’A/B testing et mesurons avec précision quelle est la meilleure configuration possible par page et par emplacement publicitaire.

Vous l’aurez compris, la visibilité publicitaire est un KPI à ne pas oublier pour booster vos revenus. Métrique suivie de près par les annonceurs, il est donc essentiel de l’optimiser pour être sûr d’attirer les meilleures campagnes et d’utiliser tout votre potentiel publicitaire. Vous cherchez une solution pour l’optimiser ? Faites appel à notre expertise. 

Les meilleurs formats publicitaires en 2022

Lorsqu’il est question de formats publicitaires en ligne, les possibilités sont nombreuses et les choix souvent difficiles. La taille de vos annonces et leur emplacement ont un impact direct sur la rentabilité de votre inventaire.  En effet, une utilisation judicieuse des tendances peut vous permettre d’augmenter vos taux de visibilité et RPM pages, tout en préservant l’expérience utilisateur. Dans cet article, nous vous présentons notre dernière analyse sur les meilleurs formats publicitaires en 2022 et les tendances d’emplacement et d’habillage des annonces.

Les tailles les plus en vogue sur desktop et mobile

Tout comme l’année dernière le format 300×250 occupe la première place du podium parmi les tailles les plus plébiscitées sur desktop, puisqu’il regroupe 40% des impressions publicitaires totales. On retrouve ensuite, le Leaderboard (728×90) et le Grand Rectangle (336×280). Ces trois formats font partie des formats standards définis par l’IAB. Cette association qui a pour objectif de promouvoir des pratiques publicitaires optimales et respectueuses de l’expérience utilisateur.

Lire : Les meilleurs formats publicitaires en 2021

mobile formats publicitaires 2022

En 2021, les utilisateurs ont passé 3,8 trillions d’heures sur mobile, un record !  Selon une étude réalisée par App Annie, société spécialisée dans l’analyse de données mobiles, les dépenses publicitaires sur mobile ont dépassé 295 milliards de dollars en 2021 dans le monde, et représentaient 70% des dépenses numériques. Zoom sur les tendances à adopter pour maximiser vos revenus sur mobile :

  • Le format 300×250 pixels : aussi connu sous le nom de medium rectangle ad, représente 40% des impressions publicitaires totales et occupe donc la première place du podium pour les annonces sur mobile. Compatible sur desktop et mobile, nous vous conseillons de l’utiliser en cœur de contenu. Sa taille permet aux annonceurs de diffuser des annonces impactantes (image + texte), sans perturber l’expérience utilisateur. Notre solution d’insertion automatique des publicités permet justement aux éditeurs, grâce à un algorithme, de répartir ces annonces de manière harmonieuse sur la page.
  • Le 320×50 pixels : ce format est très populaire auprès des annonceurs, malgré sa petite taille. Pour optimiser sa visibilité, nous vous conseillons de l’utiliser en bas de page, en sticky, et de le combiner à notre solution d’ad refresh.
  • Les annonces interstitielles : offrant des CTR inégalables et des eCPM élevés, les annonces interstitielles représentent une option non négligeable pour les éditeurs souhaitant booster leur revenus. Nous conseillons cependant aux éditeurs de les utiliser avec précaution, en ajustant notamment le capping. L’utilisation de ce format est, par ailleurs, soumise à certaines règles définies par la Coalition for Better Ads.

La vidéo

Format vidéo outstream instream display formats publicitaires 2022

Selon une étude réalisée par le SRI et l’UDECAM, l’utilisation du format vidéo (instream et outstream) a connu une hausse de 57 % entre le S1 2020 et le S1 2021,  représentant 45 % du display total et faisant de ce format un élément à ne pas omettre dans sa stratégie de monétisation.
Récemment nous avons mis en œuvre, pour l’un de nos clients, notre solution Header Bidding sur de la vidéo Instream et avons observé une amélioration du taux de remplissage.

La publicité native

Les formats « natifs » , à ne pas confondre avec les contenus sponsorisés généralement localisés en fin d’articles, font référence aux publicités utilisant des feuilles de style natives et affichées aux mêmes emplacements que la publicité display.

Les annonces natives permettent d’intégrer des publicités respectueuses de la navigation de l’internaute. Elles sont conçues pour correspondre à la charte graphique du site (couleurs, polices de caractères).

Selon une étude publiée par IAB France en 2020, la publicité native :

  • Enregistre un taux d’interaction supérieur aux formats display
  • Augmente l’intention d’achat après un clic, par rapport à une annonce display 
  • Représente 22% des dépenses Display

Lorsque l’éditeur fait l’effort d’intégrer les annonces natives issues des différentes places de marché programmatiques et d’en personnaliser l’affichage, la part des revenus provenant du natif croît de manière très forte. Nous observons d’ailleurs ce phénomène sur les inventaires optimisés par Opti Digital où ce format natif est présent dans tous les emplacements.

Pour savoir comment Opti Digital travaille avec la publicité native pour booster les revenus de ses éditeurs, contactez-nous !

Bilan de l’année et objectifs pour 2022

Monétisation éditeurs 2022

Au cours de ces douze derniers mois, l’équipe Opti Digital a travaillé dur pour aider les éditeurs à optimiser leur monétisation. Rétrospective sur les temps forts de l’année, et les perspectives d’évolution pour 2022.

2021, c’est…

L’enrichissement de notre solution 360°

Notre technologie publicitaire pour les éditeurs gagne en agilité et en performance ! Notre équipe utilise notre tag manager propriétaire au quotidien. Cet outil intègre désormais de nombreuses fonctionnalités comme la gestion des emplacements publicitaires, des tailles, des partenaires participant aux enchères, le refresh intelligent, le chargement tardif, la réservation d’espace pour optimiser le score CLS ou encore le layout automatique pour trouver l’agencement qui maximise les revenus publicitaires des éditeurs. 

Nous avons également adapté notre offre au cadre légal, en proposant des solutions de monétisation cross-consent comme Google Limited Ads ou encore Opti Digital Ad Server alias ODAS, notre solution consentless développée en interne.

De belles rencontres avec éditeurs, groupes médias et régies

La presse au futur
monétisation éditeurs 2022
1 – Les Rencontres Éditeurs / 2 – Événement The Cookie Afterwork / 3- La Presse au Futur

Malgré le contexte sanitaire difficile et ses contraintes, Opti Digital a eu la joie de partir à votre rencontre lors de plusieurs événements, en France et en Europe. L’occasion d’échanger sur vos challenges et vos besoins pour continuer de vous apporter des solutions adaptées. 

En avril, nous avons animé notre premier webinar sur la monétisation cross-content pour répondre aux inquiétudes des médias sur le recueil des consentements RGPD, et sa prise en compte par Google. Si vous ne l’avez pas encore vu, c’est encore d’actualité. Consultez le replay. 😉

En Octobre, nous avons organisé notre première Matinée Éditeurs ! C’est avec plaisir que nous avons donné rendez-vous aux éditeurs de médias et de sites de petites annonces lyonnais afin d’échanger avec eux, autour de quelques croissants, sur les problématiques actuelles de SEO et de publicité qui vous touchent et les innovations développées par Opti Digital.

Une équipe d’experts renforcée

En l’espace d’un an, notre équipe a doublé. De Céret, à Lyon, en passant par Barcelone, Madrid et Wroclaw, l’équipe Opti Digital est constituée désormais de 18 experts et, plus que jamais, prête à affronter 2022 aux côtés des éditeurs, pour optimiser leur monétisation.

Nous avons notamment accueilli cette année :

  • de nouveaux Responsables Éditeurs, afin d’étendre nos compétences en dehors de l’hexagone, notamment en Espagne et en Pologne ;
  • de nouveaux talents pour notre équipe technique, basée en Pologne, pour faire évoluer notre solution et donner vie aux innovations de demain ;
  • un Data Scientist, pour rendre nos solutions encore plus efficaces grâce à l’intelligence artificielle.

Nos objectifs pour 2022

Si l’année 2021 a été ponctuée par de nombreux temps forts, 2022 s’annonce tout aussi prolifique avec de nombreux projets, notamment :

  • Automatiser l’exploitation de nos données de manière plus poussée, grâce à l’IA ;
  • Exploiter les données first-party des éditeurs et les ID uniques ;
  • Mettre en place des prix plancher dynamiques, selon de multiples critères ;
  • Optimiser l’UX de notre solution de monétisation en header bidding des inventaires vidéos in-stream ;

  • Organiser de nouvelles rencontres online et lors d’événements en France et ailleurs en Europe ;

Découvrez notre rétrospective en image

2021 en image

Besoin d’informations complémentaires sur nos solutions et/ou nos offres d’emploi ? Contactez-nous !

Éditeurs et régies médias : 7 bonnes pratiques pour finir l’année en beauté

Entre Black Friday et la période de Noël qui approche à grands pas, les éditeurs et les régies médias ont tout intérêt à mettre en place, dès maintenant, une stratégie de monétisation réussie pour attirer les meilleures campagnes publicitaires. Nous avons identifié 7 bonnes pratiques à mettre en place pour définir cette stratégie gagnante :

1. Priorisez l’agencement de vos inventaires publicitaires

Avec l’avènement des Core Web Vitals, il est essentiel d’optimiser l’expérience utilisateur pour obtenir un bon score CLS et un positionnement optimal dans les SERPs. Pour s’assurer d’une bonne UX, nous recommandons de réserver une hauteur minimum aux emplacements publicitaires.

Travaillez également l’agencement de vos inventaires pour qu’ils soient les plus quantitatifs et qualitatifs possible. Voici les différents paramètres à prendre en compte : le nombre d’annonces par page et par appareil, leur positionnement, leur temps de chargement… Chez Opti Digital, nous proposons une solution efficace pour optimiser le layout du site (l’agencement) : l’insertion automatique des annonces en cœur de contenu, combinée au chargement tardif ou Lazy Loading et au rafraîchissement intelligent des publicités

Ces optimisations sont bénéfiques pour l’acquisition d’audience et permettent d’attirer plus d’annonceurs, enclins à investir sur les inventaires qui présentent un bon volume et un bon taux de visibilité.

2. Ajustez les prix planchers à la demande croissante

Le dernier trimestre est très prisé par les annonceurs. Il peut donc être judicieux d’augmenter les prix planchers de façon à stimuler la compétition en Header Bidding entre les SSPs et Google AdExchange. Cela permet de booster les eCPM en cette période de forte demande où les taux d’invendus sont plus faibles, et de venir augmenter l’inventaire eCPM net (le chiffre d’affaires réalisé pour mille opportunités d’affichage disponibles). 

Chez Opti Digital, nous ajustons les prix planchers en fonction de plusieurs paramètres dont l’évolution de la demande par exemple. Nous serons bientôt en mesure d’automatiser ce processus de manière intelligente puisque notre expert en Data Science développe actuellement une solution de Machine Learning capable de définir les meilleurs prix planchers pour chaque impression. #StayTuned 🙂

3. Essayez de nouveaux formats

Nous vous conseillons de tirer profit de la période pour tester des formats à haute valeur ajoutée pour votre monétisation, c’est-à-dire aux eCPM et taux de visibilité élevés. C’est le cas des emplacements adhérents « sticky » en pied de page, l’interstitiel sur mobile et desktop, ou encore le format 300×600 sur mobile.

Exemple d’un emplacement sticky bottom sur journaldugeek.com

Attention, tout de même, à l’usage des interstitiels pour ne pas perturber l’expérience utilisateur. Vous devez l’intégrer en respectant les critères de Google. Bien placées et utilisées de façon raisonnée, les annonces interstitielles peuvent apporter un revenu additionnel.

4. Profitez de l’effervescence e-commerce sur l’inventaire consentless

Pour maximiser votre rentabilité publicitaire, nous vous recommandons d’intégrer la demande de partenaires e-commerce et de divertissement. Amazon est notamment un acteur majeur en cette période de fin d’année et peut générer des pics de recettes conséquentes. 

Pensez aussi à monétiser votre audience ayant refusé les cookies de ciblage. Nous vous recommandons de diffuser vos campagnes directes via des solutions alternatives et consentless comme Google Limited Ads et Opti Digital Ad Server alias ODAS, une technologie innovante permettant un ciblage contextuel précis, sans déposer le moindre cookie. Vous monétiserez, ainsi, l’ensemble de votre trafic, avec ou sans consentement. 

En savoir plus sur notre stratégie de monétisation cross-consent

5. Mettez à jour votre fichier ads.txt

L’ads.txt (Authorized Digital Sellers) est une initiative de l’IAB Tech Lab pour “vous permettre de vendre votre inventaire publicitaire numérique uniquement par l’intermédiaire de vendeurs que vous avez identifiés comme étant autorisés.” 

Chaque fois qu’un partenaire de demande (bidder ou SSP) est ajouté aux enchères, autorisez-le à commercialiser votre inventaire en l’ajoutant au fichier Ads.txt. 

L’ads.txt est parcouru régulièrement par les robots des SSPs. Si un partenaire est manquant, il ne pourra pas participer aux enchères programmatiques. Il est donc primordial de mettre à jour ce fichier à chaque ajout ou suppression de partenaires. 

Chez Opti Digital, nous vérifions, de manière régulière, les fichiers ads.txt de nos éditeurs. Nous utilisons notamment l’outil gratuit Adstxt.guru pour examiner ce fichier et informer les éditeurs des mises à jour nécessaires.

6. Configurez tous vos partenaires dans la CMP

Les partenaires de demande doivent non seulement être renseignés dans le fichier ads.txt, comme évoqué précédemment, mais aussi dans la CMP (Consent Management Platform). 

Si la liste de partenaires n’est pas à jour, cela peut vous empêcher de recevoir des enchères ouvertes et privées.

7. Actualisez votre présentation dans Google Ad Manager

Capture d’écran d’un formulaire Deal Settings

Soigner votre présentation sur Google Ad Manager peut vous permettre d’attirer l’attention des acheteurs et de recevoir des demandes de Deal ID. Pour bien mettre en avant votre profil, pensez notamment à renseigner : 

  • Une description de votre audience sur Desktop et Mobile.
    Qui est-elle ? (Genre, tranche d’âge, répartition par type d’appareil)
    Que vient-elle chercher sur votre média ? (verticale)
    Combien de temps consomme-t-elle votre contenu ?
  • Quels formats proposez-vous ? (IAB Display, habillage, parallaxe, rich media…)
  • Vos performances (Le nombre d’impressions reçues, vos taux de visibilité et taux de clic.)

C’est l’occasion de mettre en valeur votre inventaire et de montrer tout votre potentiel d’audience pour séduire les acheteurs.

Et vous, quelle est votre stratégie de monétisation pour la fin de cette année ? Nous pouvons vous aider à la mettre en place, demandez-nous conseil 😉

La solution de Lazy Loading d’Opti Digital, incontournable pour votre monétisation publicitaire

Le Lazy Loading d'Opti Digital
Le Lazy Loading, aussi connu sous le nom de chargement tardif ou chargement différé, est devenu un must-have pour optimiser les revenus publicitaires des éditeurs. Chez Opti Digital, cette technologie permet non seulement d’atteindre des taux de visibilité supérieurs à 70% sur tous nos inventaires cross-device, mais aussi d’améliorer considérablement la performance globale des médias, notamment leur vitesse de chargement. Zoom sur cette solution innovante.

Le Lazy Loading : définition ?

Selon l’encyclopédie digitale, Définitions-Marketing, “le lazy loading est un procédé technique qui permet de s’assurer qu’une publicité n’est chargée au sein du navigateur qu’après les éléments principaux de la page. Le lazy loading est notamment utilisé pour charger des créations publicitaires qui se situent en dessous de la ligne de flottaison. Dans ce cadre, l’élément publicitaire n’est chargé que lorsque le visiteur scrolle vers le bas dans la page.” 

Les avantages du chargement tardif sont nombreux. Parmi eux, on retrouve l’amélioration de la visibilité publicitaire. Chez Opti Digital, les taux de visibilité des éditeurs atteignent 70%, une moyenne cross-device non négligeable lorsque l’on sait que la tendance en France est d’environ 49% pour le Web, d’après le baromètre du programmatique de ZBO (juillet-août 2021). 

De l’amélioration des taux de visibilité en découle une augmentation des eCPM (revenus pour mille impressions), comme le démontre ce graphique extrait du Dashboard de l’un de nos éditeurs : 
Évolution conjointe du taux de visibilité et des eCPM

Dans l’exemple ci-dessus, l’éditeur a déplacé un emplacement publicitaire pour en améliorer la visibilité le 17 septembre 2021. Les eCPM observés progressent ensuite avec un décalage de 5 jours, le 22 septembre 2021. En effet, les données de visibilité prises en compte par les acheteurs programmatiques sont, en général, la moyenne des 7 derniers jours de l’éditeur. À compter du 22 septembre, les inventaires de cet éditeur deviennent éligibles à davantage de campagnes publicitaires, ce qui augmente la demande et les eCPM. 

Le chargement tardif présente d’autres avantages : il améliore l’expérience utilisateur et participe à un meilleur référencement naturel sur les moteurs de recherche. En effet, les publicités sont affichées progressivement, en fonction de la navigation de l’utilisateur et non pas lors de l’arrivée sur la page. Cela allège le poids de la page, réduit son temps de chargement et l’internaute peut consommer le contenu plus rapidement.

La Lazy Loading et notre stack intégrée

Cette année, nous avons développé une technologie propriétaire pour administrer les configurations publicitaires des sites et simplifier leur modification à distance par notre équipe (en managed-service) : le Tag Manager d’Opti Digital. Cet outil innovant permet notamment de configurer facilement et rapidement les paramètres de Lazy Loading de manière précise : par page, par appareil et par emplacement. 

Capture d’écran du Tag Manager d’Opti Digital

Chez Opti Digital, nous sommes fournisseurs de technologies digitales, indispensables pour la monétisation des éditeurs. Notre solution de chargement différé complète plusieurs autres modules au sein d’une stack intégrée :

  • L’insertion automatique : Notre algorithme est capable d’analyser précisément le potentiel publicitaire d’un site média et d’y afficher automatiquement des annonces là où elles sont susceptibles d’avoir les meilleures performances. 
    En savoir plus sur l’insertion dynamique
  • Le rafraîchissement intelligent : Cette fonctionnalité démultiplie les impressions en affichant une nouvelle publicité au sein d’un emplacement selon plusieurs conditions définies en amont : visibilité, durée, annonceur, position dans la série.
    Plus d’explications sur le rafraîchissement intelligent
  • L’expérience utilisateur stable et le CLS (Cumulative Layout Shift) : Nos tags évitent les sauts de contenu pénalisés par Google dans son programme Core Web Vitals. Nos éditeurs peuvent ainsi monétiser leurs inventaires sans perturber l’expérience utilisateur et préserver leur bon référencement naturel. 
    Plus d’informations sur l’optimisation du score CLS

Le Lazy Load piloté par la donnée

D’après notre retour d’expérience sur le chargement tardif, il est primordial d’adapter cette technologie au contenu d’une page grâce à l’analyse du site et des données. Exemples :

Très lazy : Si une page héberge des contenus qui se consomment rapidement, comme des diaporamas de photos par exemple, l’internaute a tendance à scroller vite au risque de ne pas laisser le temps à la publicité de se charger. Nous recommandons d’allonger la distance d’appel de l’annonce (à 1000 pixels) afin d’être sûr d’avoir le temps de charger l’annonce lorsque l’internaute arrive.

Peu lazy : Maintenant, prenons l’exemple d’une page hébergeant un contenu éditorial rédigé par des experts, sur des sujets complexes. Dans ce cas de figure, l’utilisateur prend le temps de consommer l’information et descend lentement. Nous devons charger la publicité à 300 pixels seulement de l’annonce, quand l’internaute est sur le point de la voir.

Dans l’ensemble, nos études révèlent qu’il est préférable de mettre en place du lazy loading sur l’ensemble des inventaires plutôt que d’appliquer du chargement direct, tant cette technologie est avantageuse pour le SEO et la rentabilité publicitaire. 

Les bénéfices du Lazy Loading chez Slate.fr

Lancé en 2009, Slate.fr est aujourd’hui une référence en termes de contenus et d’analyses sur la culture, la politique, l’économie ou encore les évolutions de notre société. Nous accompagnons l’éditeur de ce média depuis janvier 2020 tant sur sa stratégie publicitaire que sur ses opérations d’Ad Serving et de monétisation programmatique. 

Nous avons intégré notre solution de chargement tardif sur ce site web et sur ses pages AMP alors que les taux de visibilité ne dépassait pas les 40 %. Résultat : l’éditeur affiche aujourd’hui un taux de visibilité moyen à plus de 70 %.  

Vous l’aurez compris, le chargement tardif présente bien des avantages pour la monétisation des sites. Mis en place de façon mesurée et adaptée aux contenus des pages, cette solution est bénéfique au SEO, à l’UX et à la visibilité et par conséquent à la rentabilité publicitaire. Besoin de plus d’explications sur notre accompagnement ? Contactez-nous !