5 conseils pour optimiser la mise en page de vos annonces 

Chez Opti Digital, nous proposons des technologies qui permettent aux éditeurs d’optimiser leur monétisation tout en protégeant au maximum leur UX. 

Sauts de contenu, publicités intrusives, lenteur du chargement du site… Une mauvaise mise en page des annonces provoque un certain nombre de désagréments qui peuvent avoir un impact négatif sur l’expérience utilisateur et sur vos performances publicitaires globales. C’est pourquoi nous vous recommandons d’accorder une attention particulière à la structure de vos annonces, notamment en ce qui concerne le volume (pression publicitaire) et l’emplacement des publicités.

Dans notre dernier webinaire, nous avons partagé nos meilleurs conseils pour une mise en page optimale des annonces. Découvrez-les tous maintenant.

Les 5 étapes clés pour maîtriser la mise en page de vos annonces

1. Insérer ses publicités aux endroits stratégiques

Votre stratégie de placement dépend du système d’enchères en vigueur sur votre site. Ici, nous nous concentrerons sur les placements à privilégier et à éviter dans le cadre d’ enchères ouvertes.

Illustration n°1 : Il est important d’éviter d’avoir des publicités non adhérentes en haut de votre écran mobile. En effet, les internautes ont tendance à « scroller » rapidement jusqu’au contenu désiré, ce qui a pour conséquence de réduire considérablement le taux de visibilité. De la même manière, nous déconseillons de placer des annonces non adhérentes au niveau du pied de page.

Illustration n°2 : Nous privilégions très souvent une intégration en cœur de contenu, puisque c’est là que se concentre l’attention de l’utilisateur.

Lire : Pourquoi faut-il accorder de l’importance aux emplacements publicitaires dans sa stratégie de monétisation ?

Illustration n°3 : Tout comme pour l’insertion en cœur de contenu, placer une annonce à la fin d’un article permet de générer un bon taux de clics.

Illustration N°4 : Utilisées de la bonne manière, les annonces interstitielles offrent des CTR imbattables et des eCPM élevés. Cependant, comme il s’agit d’un format intrusif, il est essentiel d’utiliser le capping configuré par Google (1 interstitiel par heure pour un utilisateur unique) et de permettre à l’internaute de faire disparaître facilement l’annonce. 

2. Personnalisez vos modèles de page

Une erreur à ne pas commettre est d’avoir un modèle unique pour l’ensemble de son site. En effet, il est possible d’adapter votre structure publicitaire et d’améliorer vos performances de monétisation en personnalisant votre mise en page par :

  • Page –  Le comportement de navigation d’un utilisateur varie en fonction du contenu. Préparez donc une mise en page spécifique pour chaque catégorie, qu’il s’agisse de la page d’accueil, d’une page d’article ou encore d’une page produit.
  • Appareil – Sur mobile, une annonce placée au niveau de la ligne de flottaison, après le premier paragraphe, est une bonne option. En effet, c’est là que nous enregistrons les meilleurs taux de clics et de visibilité. En revanche, sur desktop, une position de type billboard (au-dessus de l’image) sera plus adaptée.
  • Utilisateur – Ne considérez pas tous vos utilisateurs de la même façon et récompensez leur fidélité ! Chez Opti Digital, nous adaptons la pression publicitaire en fonction du type d’internaute. Par exemple, si celui-ci est connecté, nous lui proposerons moins de publicités.

3. Distribuez vos annonces de manière harmonieuse

Idéalement, nous recommandons à tous les éditeurs d’utiliser une technologie capable de distribuer les annonces de manière harmonieuse au sein du contenu et autres éléments du site. 

Ce type de technologie doit être implémenté de façon à  :

  • Définir une distance, en pixels, entre les annonces, les images, le texte…
  • Adapter le nombre d’annonces en fonction de la longueur de vos articles. Plus l’article est long, plus le nombre de publicités affichées sera important.

4. Adaptez le chargement des éléments

Comme expliqué au début de l’article, l’un des principaux inconvénients d’une mise en page non optimisée est le temps de chargement de votre site. Mais rassurez-vous, il existe des technologies/configurations en mesure d’optimiser votre score LCP (Largest Contentful Paint), indicateur clé des Core Web Vitals.

Le chargement tardif (ou lazy loading) est indispensable pour optimiser vos performances globales. En effet, cette technologie permet à nos éditeurs d’atteindre des taux de visibilité supérieurs à 70% sur les inventaires cross-device, mais aussi d’améliorer considérablement la vitesse de chargement de leur site. Comment ? En affichant progressivement les publicités en fonction de la navigation de l’utilisateur.

Autre option intéressante et qui concerne davantage la configuration de votre header bidding : passer d’une configuration côté client à une configuration côté serveur. Si aujourd’hui tous les partenaires de demande ne sont pas compatibles avec la deuxième configuration, ce choix reste cependant intéressant pour réduire la latence de votre site web et augmenter votre trafic.

Pour en savoir plus, découvrez notre article sur les différences entre le header bidding côté client et le header bidding côté serveur.

5. Créez des styles natifs

Si la localisation des publicités est un élément clé à intégrer dans votre stratégie, il est également intéressant de s’intéresser à la manière dont celles-ci sont affichées.

Pour augmenter le taux de clics et améliorer l’aspect général de leur site, nous recommandons aux éditeurs de créer des styles natifs comme dans l’exemple ci-dessous :

Page d’accueil du site français Futura (version dark mode)

Exemple de création d’un style natif

Sur la deuxième image, nous pouvons voir que nous avons intégré les éléments du design de Futura, à la publicité de l’annonceur. Les options de personnalisation sont multiples et concernent notamment le bouton d’attribution (AD), le titre, le fond, le corps du texte, la couleur du CTA (call to action)…

En plus d’une présentation agréable, la création de styles natifs permet d’activer la demande native de Google.

Pour regarder le replay du webinaire et accéder aux slides de présentation, merci de bien vouloir remplir le formulaire ci-dessous (contenus en anglais) :

Vous souhaitez approfondir le sujet avec un membre de notre équipe ? Contactez-nous

Slate.fr choisit Opti Digital pour l’accompagner dans l’optimisation de ses revenus publicitaires

Lancé en 2009, Slate.fr est aujourd’hui une référence en terme de contenus et d’analyses sur la culture, la politique, l’économie ou encore les évolutions de notre société. 

La direction du site français slate.fr, souhaite désormais augmenter et optimiser les revenus publicitaires du média francophone, tout en conservant le contenu Premium et l’expérience utilisateur qu’il a su proposer depuis sa création.

Continue reading

Etude : Les revenus programmatiques des médias en Europe – T4 2019

Une nouvelle étude détaille les revenus programmatiques des médias au quatrième trimestre 2019. Réalisée par Opti Digital, jeune entreprise française d’AdTech qui développe des outils de monétisation publicitaire et d’analyse pour les éditeurs du digital, cette étude offre une vue globale du marché de la publicité programmatique côté éditeur. On y découvre les tendances du marché, les taux de visibilité moyens, les partenaires de demande clés et le taux d’adoption des technologies de monétisation publicitaires.

L’étude suivante a été réalisée sur les inventaires optimisés grâce à l’accompagnement offert par Opti Digital et aux technologies éditées par la société : Opti Smart Tags, solution de taggage intelligent qui augmente la valeur des inventaires et protège l’audience contre la fraude des annonceurs malveillants, Opti Dynamic Auctions, solutions de header bidding pour les environnements Web et AMP, et Opti Cockpit, outil d’analytics publicitaire édité par Opti Digital.

L’échantillon de 49 sites analysés dans le cadre de cette étude est d’une grande variété : des sites de contenus thématiques, des sites d’actualités, et des forums. Les verticales dominantes sont : high-tech, voyages, automobile, TV, sport, santé, bricolage…

Hausse du taux de visibilité moyen

D’octobre à décembre 2019, les sites analysés pour l’étude ont vu leur taux de visibilité augmenter (+4,30%) à 63,20% de moyenne. Le taux s’élève à 61,70% pour les connexions depuis un mobile et à 66% sur ordinateur.

En améliorant les taux de visibilité des annonces, les inventaires deviennent plus intéressants pour les annonceurs. Les médias reçoivent ainsi davantage d’enchères en quantité et à des CPMs plus élevés.

Adoption massive de la protection anti-fraude

79,50% des sites ont adopté la technologie de protection anti-fraude développée par Opti Digital. Celle-ci bloque les annonceurs malveillants qui utilisent du Javascript pour effectuer des expansions de créatives ou des redirections automatiques.

En luttant contre ces comportements non désirables, la grande majorité des éditeurs ont fait le choix de protéger leur audience contre de potentielles redirections vers des sites à risques (phishing, ransomware…).

Adoption des technologies de header bidding

Répartition des revenus programmatiques des médias par type de partenaire – T4 2019

Sur les 49 sites analysés pour cette étude, la totalité utilisent le wrapper Prebid côté client développé et déployé par Opti Digital, pour augmenter la concurrence entre les acheteurs programmatiques au premier prix sur les inventaires Web. Ainsi Prebid génère près de 25% du chiffre d’affaires des éditeurs.

Le wrapper indépendant d’Amazon a été déployé sur 37% des sites sur lesquels le nouvel acteur de demande était le plus pertinent en cette période de fêtes. Sur ce dernier trimestre, Amazon a généré 3,60% du chiffre d’affaires des éditeurs analysés.

Quels sont les partenaires de demande incontournables ?

Le trio de tête ne change pas : Google AdExchange concentre 67,70% des revenus publicitaires programmatiques des éditeurs. Les différents bidders AppNexus directs ou d’autres partenaires (MediaSquare par exemple) dégagent 8,20% du chiffre d’affaires, suivis de Rubicon (4,20%).

On note une recomposition des challengers : Amazon fait une entrée fracassante en 4ème position et génère 3,60% des revenus alors qu’il n’est présent que sur 37% des sites. Il est suivi en 5ème position de l’acteur français Smart, qui génère 2,90% des revenus. Criteo n’arrive qu’en 7ème position en terme de chiffre d’affaires généré sur le quatrième trimestre.

Criteo semble avoir déplacé ses investissements de Google AdExchange à Prebid après le passage de Google à l’enchère unifiée en septembre 2019. Mais le bidder français récemment effectué des changements de configuration qui lui permettent de croître très rapidement lorsque Criteo Direct Bidder est intégré via Prebid côté client. Cela porte à croire que Criteo deviendra indispensable au 1er trimestre 2020.

Pour en savoir plus sur le périmètre de cette étude, ou sur certaines solutions, contactez Opti Digital.

Google Ad Manager propose les annonces vidéo natives

Google Ad Manager (nouveau produit de Google réunissant Google AdExchange et l’AdServer DoubleClick For Publishers) propose un format aux éditeurs de sites, les annonces vidéo natives. En quoi consiste ce format ? Y-a-t-il des contraintes de contenu ? Comment activer les annonces vidéo natives sur votre site ?

Continue reading